samedi 6 octobre 2018

Juillet 2018 l'Elysée rate l'épreuve de l'émeute

A la quatrième nuit d'émeute à Nantes, les consignes aux forces de l'ordre se réduisent à l'absence de riposte, histoire de ne pas envenimer. Un lycée professionnel incendié, une médiathèque en cendres, des dizaines de véhicules en feu, des millions d'euros en services publics destinés aux populations soi-disant défavorisées envolés en fumée, voilà un bilan qui rappelle furieusement les émeutes de 2005 que le ministre de l'intérieur Sarkozy s'était déja appliqué à ne pas réprimer.

Mercredi les forces de l'ordre abattaient un délinquant négro-musulman refusant d'obtempérer et menaçant la vie d'autrui au volant d'un véhicule mais le CRS auteur du coup de feu se voit mis en examen.


La population bretonne terrorisée par la racaille africaine qui désormais fait la loi et survit de l'aide publique, de rapines, de trafic de stupéfiants, quand ce n'est pas de grand banditisme ou une guerre soi-disant sainte contre le soi-disant infidèle.

Voilà où mène l'assistanat universel en échange d'une paix civile provisoire. En supprimant l'assistance publique, ces populations africaines se verraient obligées à trouver du travail, avec pour alternatives le retour au pays ou la prison.

Il semble impensable de laisser déferler la violence urbaine qui rapidement prend des proportions inquiétantes, c'est pourtant l'option prise par le tandem Macron-Philippe au grand désarroi des populations autoctones que ne peuvent plus compter désomais sur les forces de l'ordre pour  leur sécurité, suite au bridage élyséen.

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