En épaulant la croisade nationale du généralissimo Franco, le chancelier Hitler espérait créer un foyer de diversion en Europe du Sud ou s'engouffreraient la France et l'Angleterre à la défense de la démocratie, lui laissant le champ libre en Europe de l'Est. Il en profita pour essayer de nouvelles tactiques et armes de guerres comme les attaques en piqué de Stukas.
Le caudillo lui en fut éternellement reconnaissant tout en n'étant pas dupe un seul instant. A Hendaye en 1940 l'entretient au sommet se solda pour le chancelier par un semi-echec. L'Espagne ne s'engageat pas aux cotés des puissances de l'axe contre les Franco-Britanniques, sans préjudice de l'évolution ultérieure à l'est en attente du règlement de contentieux avec Staline.
Les britanniques révèlent aujourd'hui que le service secret de sa majesté soudoya des généraux espagnols pour convaincre leur Général en Chef de ne pas s'engager. Avec la côte des anglais dans les rangs nationalistes, il y a fort à parier qu'ils acceptèrent avec effusion le cadeau tout en laissant le généralissime décider.
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