jeudi 14 octobre 2010

Maurice Allais


Raymond Barre et Maurice Allais

Depuis les années 80 , la dette publique explose dans les pays du libéralisme avancé: après-moi le déluge! devise que les dirigeants ont fait leur: chaque président se fait fort de doubler la dette laissée par son prédecesseur depuis Giscard d'Estaing , car son premier ministre Barre exécuta le dernier budget en équilibre de la république, comme le rapelle fort bien le site Polemia.

Depuis, de génereuses allocations ont vues le jour: RMI, RSA, CMU, AME; le déficit de la sécurité sociale s'est creusé, comme celui de certaines entreprises publiques.

En matière de déficit public, il n’y a pas une bête politique moins malade que les autres : c’est comme pour la vache folle, c’est tout le troupeau qu’il faut abattre ! (Polemia)

Comme la dette nationale est un ratio, elle devrait rester plafonnée. Nul besoin de connaître les écoles de philosophie depuis l'Académie pour le conclure, simple économie domestique, encore faut-il qu'il y ait un propriétaire dans la baraque pour renouer avec la responsabilité.

Occident doit retrouver la maîtrise de sa dette pour se remettre a flôt, du simple bon sens. Le parti du Front National propose de retrouver la souveraineté nationale pour y parvenir car la CEE serait un carcan, ne serait-ce pas jetter le bébé avec l'eau du bain et ne vaut-il pas mieux une Europe souverainiste qu'une France nationale?. Quoiqu'il en soit une solution s'impose, sinon le gaspillage et l'illusion de l'argent facile continueront d'attirer les flôts d'immigration en quête de nouvel Eldorado.

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