mercredi 4 janvier 2012

Le vote des étrangers aux élections municipales permettrait d'imposer la charia avant d'évincer les autoctones


La majorité des résidents étrangers sont de confession musulmane. Les étrangers les plus islamisés sont généralement les plus motivés par incitation du butin à portée de vote, butin dont la clef d'accès s'acquiert par la charia qui dépossède le non-musulman. Or souvent le plus motivé remporte la victoire à l'embauche, à la guerre où en amour. L'Islam motive ses troupes en leur promettant des récompenses sur terre comme au ciel alors que le christianisme se contente de rétributions célestes et le judaïsme rien du tout, le lecteur appréciera la surenchère religieuse.

A l'opposé la classe politique fait tout pour décourager l'électeur, en l'accablant d'impôts, en favorisant l'immigration et en limitant la démocratie avec la règle des 500 signatures. Le chômage et l'insécurité induite par l'immigration incite l'électeur à tenter sa chance par delà les frontières comme ces 200 000 jeunes français d'outre-manche tandis que les aides sociales pleuvent sur les immigrés qui de plus importent leur épouse de leur pays d'origine, alimentant la pompe migratoire.

Au niveau local un islamiste n'a pas besoin de se soumettre à une élection pour faire partie de la classe politique, ainsi le maire socialiste du premier secteur de Marseille a nommé un imam d'origine comorienne comme adjoint. Le scrutin de liste complaisamment ouvert aux démocrates de façade est un autre moyen d'infiltration islamique, nous y reviendrons.

Au niveau national, nous voyons les instances dirigeantes des partis se peupler de musulmans, principalement au parti socialiste mais l'UMP n'est pas en reste après la tentative multiculturelle du gouvernement Fillon II et ses trois musulmanes.

Au niveau continental, l'angélisme ambiant a rendu si aisée l'acquisition d'une nationalité europénne que le vote des étrangers n'est même plus nécessaire pour leur accession au pouvoir: leur naturalisation suffit. cela permet avant tout de cumuler les avantages de deux pays au détriment des autochtones, plaçant l'étranger dans la position inconfortable de servir deux maîtres, à moins de manquer de sincérité, chose notoirement courante chez un islamiste en Jihad.

C'est ainsi que Mohamed Sahib, à l'époque pharmacien dans une multinationale suisse tout en président l'association d'immigrés musulmans Ibn Batuta mais aussi fondateur du conseil islamique de Catalogne et dirigeant d'une fédération regroupant entre autres trente mosquées dénommée le FECCOM, fut intégré à la liste du parti socialiste de Catalogne victorieuse aux élections parlementaires régionales de 2003 tout en siégeant au conseil des marocains de l'étranger créé par le roi du Maroc. Les socialistes furent balayés aux élections de 2011 mais Sahib a conservé son siège.
Ce personnage demande maintenant une modification constitutionnelle afin d'abandonner la condition de réciprocité dans l'attribution du droit de vote municipal aux étrangers, sous prétexte d'égalité entre résidents non nationaux.
Trois millions de Marocains vivent à l'étranger dont 700 000 en Espagne dont 250 000 en Catalogne.
Ainsi la non-réciprocité et le droit de vote dans les pays d'accueil et d'origine forment les exigences principales de l'immigration musulmane.

Les conditions se trouvent alors réunies pour l'apparition d'un électorat musulman en Europe pesant sur la balance, téléguidée du pays originaire.

La démission de l'électorat autochtone couplée à l'immigration massive musulmane nous entrainerait dans l'engrenage de la charia d'oú naissent la razzia, la dhimmisation et la lapidation si par mésaventure la cécité des partis politiques au pouvoir permettait le développement de ces deux tendances.

sources
http://intereconomia.com
http://www.wanafrica.net
http://www.marruecosdigital.net

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