On reste confondu devant l'outrecuidance des indigènes musulmans.
Une bande de marocains s'est introduit dans Melilla menée par un sénateur-maire pour vandaliser la statue du conquistador de Melilla Pedro de Estepiñan en arrachant son bras armé. Il a été offert au ministre de la culture pour une exposition patronnée par le despote Mohamed VI.
Les razzias musulmanes sur territoire chrétien ont donc repris après quelques 150 ans d'acalmie sur le mare nostrum. En d'autres temps une telle opération pirate eut entrainé sans délai une expédition armée en représailles.
Nous reprenons les sentiers d'une guerre anti-musulmans que beaucoup d'européens estiment inévitable.
addendum
La synchronisation des attaques marocaines avec les tensions à Gibraltar font suspecter une manipulation britannique. (AD)
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