dimanche 19 mai 2013

Un drame occidental: le statut de réfugié politique


via http://refugeeresettlementwatch.wordpress.com/2013/05/02/stateless-rohingya-muslim-women-in-new-hampshire-move-along-nothing-to-see/

Un drame car, comme avec les terroristes musulmans de Boston, ce sont des réfugiés d'une politique enemie au pays d'acceuil en l'occurrence l'islam, quant ce n'est pas un subterfuge pour l'immigration de confort.

Sur la photo, une collaboratrice des services sociaux luthériens fraichement diplomée de travail social aux Etats Unis d'Amérique pose avec des réfugiés birmans bénéficiaires de l'asile politique.

Les E.U.A acceuillent 70.000 réfugiés politiques par an et 90 0000 immigrants par mois en plus des clandestins.

Dans l'Union Européenne la situation parait similaire car les états accordent le statut de réfugié politique à travers d'organisations "non gouvernementales"  financées sur deniers publics qui recrutent  des demandeurs d'asiles depuis quatres continents et sur leur territoire.

C'est ainsi que des communes de France se retrouvent subitement avec des habitants de 50 pays, inassimilables à court terme et à charge de la population locale

Les réfugiés bénéficient alors du regroupement familial servant à alimenter la pompe à immigration, comme aux E.U.A on peut estimer que 10% des immigrants sont des réfugiés soit 20 000 par an.

Le drame se situe dans la consommation sans contrepartie par les immigrés de ressources qui se destinent naturellement aux nouveaux entrants du marché du travail tels que jeunes, étudiants et chômeurs. Ainsi les logements modestes et les emplois peu qualifiés sont littéralement réquisitionnés par les travailleurs sociaux affectés à l'immigration.

Les conséquences se font sentir depuis le marché immobilier jusqu'à la démographie autochtone qui s'ajuste à la raréfaction des ressources.


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