Son réquisitoire contre l'alimentation carnée est à la mesure des conséquences dantesques sur l'écologie; ses arguments, basés sur des valeurs morales, sont imparables. Si la nature a suscité le régime carnivore, l'homme est en réalité herbivore et fructivore mais ses pérégrinations l'ont conduit à adapter sa diète. Selon lui, les arguments du coeur sont plus puissants que les économiques, écologiques ou de salubrité. Le mot-clé, le mot fétiche s'énonce spécisme, qui élargit de manière scalaire le concept de racisme. Le concept qui manque encore serait celui de genocide appliqué à un embranchement du règne animal, zooicide?
Le discours radical:
Les questions du public:
En tête-à-tête
vendredi 16 mai 2014
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