Philippe est politiquement déjà mort-né, ses pairs ne lui laissent aucune chance surtout pas celle de se révéler comme si la déréliction avait atteint la gouvernance même . Un premier ministre sans parti on a jamais essayé et le ridicule n'a jamais tué personne.
Le premier octobre , le sauvage double meurtre de demoiselles à la gare Saint-Charles de Marseille par un vagabond maghrébin vaguement islamisé nous a descendu d'un cran supplémentaire dans l'echelle de la convivialité civile alors que nous croyions encore avoir touché le fond après l'attentat de Nice de Juillet 2016. Mais non , l'abysse est sans fond par définition.
On a attendu vainement les indignations à la une des médias pourtant subventionnés pour faire semblant, les clameurs outrés des commentaristes de profession, les dérapages et débordements qui ne devaient manquer de se produire chez ces frais apprentis représentants sans nul doute exaltés par la tâche à accomplir. Peine perdue l'inverse est arrivé près de chez nous , la note dissonante a surgit comme toujours du rang communiste pas si clairsemé dont la vision sort de la bouche du militant de base qualifiant le meurtrier de martyr au nom de la défense du féminisme.
A partir de là on a compris que la venue de Macron n'avait rien changé , qu'elle avait en fait empiré le niveau de protection qu'on est en droit d'attendre quand on est interdit de port d'arme de défense.
De deux choses l'une , soit la représentation nationale se donne les moyens de défendre la population par des lois dissuasives , soit on en laisse le soin à la population, ce qu'elle sait faire cela va sans dire mais encore mieux en le disant.
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