jeudi 24 mai 2018

Un billet de loterie à l'origine du mariage de William de Windsor et Meghan Markle

Mariage de la carpe et du lapin se plait-on à dire, un officier britannique de la dynastie royale des Windsor, rouquin aux dix ans de carrière militaire dont deux engagements en Afghanistan s'unit à une actrice de série télévisée qui rapporte, mulâtresse divorcée étatsunienne de 3 ans l'ainée de son conjoint.

On ne leur souhaite que du bonheur cependant les paris sont ouverts quand à la durée du mariage en l'Eglise anglicane. Pas plus d'un an ou deux.

Des constances troublantes jettent un voile sur l'union, d'une part le rejeton royal n'est pas l'intellectuel de la famille et porte son statut de célébrité comme un fardeau, de l'autre une arriviste plaquant son mari producteur de cinéma dès les premiers succès puis oubliant son père ruiné à lui payer des études dans les meilleures écoles après un gain inespéré à la loterie quand sa fille avait onze ans.

La  mariée a frayé son chemin à travers le milieu artistique le plus concurrentiel, Hollywood, même s'il survient relativement tard en raison selon l'intéressée de sa couleur de peau, non pas de son absence de formation au métier de comédien.

Elle consolide son succès télévisuel au cours de sept saisons rémunératrices, quelques seconds rôles au cinéma, le recours aux résaux sociaux sur l'Internet et cerise sur le gateau, consécration suprême, saupoudre d'humanitaire sous la bannière de l'ONU sa présence médiatique.

On lui connait trois liaisons précédentes, Trevor Engelson producteur cinématographique dont elle a divorcé  après deux années de mariage et neuf années de liaisons,. un irlandais joueur de golf professionnel et un canadien cuisinier célèbre.

La star mineure de Hollywood n'a manqué de rien et doit tout à la générosité de son père professionnel du cinéma laissé sur le carreau qui retourna l'ingratitude de sa fille en n'assistant pas au mariage sous un prétexte fallacieux quand de surcroît la fratrie ne fût pas conviée, alors que les festivités grouillaient de personnes, célébrités où inconnus, sans relation avec les mariés.

Certes la fratrie caucasienne comme dise les étatsuniens dépare quelque peu le beau linge convié aux noces. Un père obère de 73 ans, ruiné et perclus de maladies cardio-vasculaires, une demi-soeur en chaise roulante pour cause de sclérose en plaque, actrice puis juriste, mère de trois enfants et un demi-frère poseur de fenêtre. Tout cela vaut bien la professeur de yoga de mère que reçut la Reine Mère.

Une famille ravagée par le divorce qui a frappé tous les membres dont certains plusieurs fois.
Comme le dénonce son demi-frère dans une lettre envoyée au site Intouch "Sans mon père, elle en serait encore à débarrasser des tables et à faire du babysitting pour rembourser ses dettes". Alors qu'elle aurait amassé une petite fortune de 5 millions selon le magazine Fortune.

Possiblement la mère afro-américaine a senti l'humiliation de se voir délaissée comme seconde épouse d'un homme blanc et l'a laissé transparaître à sa fille. Même la patience incarnée a ses limites, le père l'a certes bien cherché.

De son coté, la Reine-Mère prit soin de ne pas répeter l'erreur de contrarier les voeux matrimoniaux du fils ainé, d'où les fastes de la cérémonie ont il parait difficile d'echapper. Le marié a certes gagné sur le front d'Aghanistan le droit de choisir son épouse sans que nul n'y trouve à redire mais dans la maison des Windsor, le Monarque a le dernier mot.

Il ne suffit pas de savoir capter la lumière des projecteurs, encore faut-il ne pas être éclairé sous un mauvais jour.

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