lundi 4 janvier 2021

La désinformation vaccinale bat son plein

 Pour l'instant il n'y aucune raison de croire en l'efficacité de las campagne de vaccination et toutes les raisons de craindre des effets secondaires. On déplore déjà des vaccinés depuis infectés, des effets secondaires désastreux, des affectés par le vaccin condamnant les laboratoires. On ne peut rien contre l'évasement de la pyramide des ages et très peu contre la dégradation de la santé publique visible à travers le taux de maladies chroniques. Non, vacciner n'est pas synonyme d'immuniser.

Le problème de la stratégie de priorité vaccinale aux plus fragiles : ces personnes pâtissent d'un système immunitaire à plat, soit le moins susceptible de répondre au vaccin et le plus susceptible de subir des effets secondaires. D'autre part les personnes plus robustes résistent au virus et n'ont que faire du vaccin. On ne doit alors pas s'attendre à un miracle, sauf pour les finances des labos.

Les vaccins s'avèrent moins efficaces chez les personnes agées et les personnes en surpoids notamment les vaccins contre la grippe, soit les catégories à risques de symptômes graves. 

Les personnes âgées forment un groupe à risque certes cependant l'age n'a qu'un rapport indirect au risque, ce groupe en réalité se constitue des personnes en très mauvaises santé, avec comorbidités, opérées, en chimiothérapie, obèses, diabétiques et plus. On connait des familles à trois générations vivant sous le même toit avec grand-parents nonagénaires tous atteints du COVID-19 ne développant pas de symptômes plus graves qu'un léger rhume.

C'est mettre à l'index 30 % de la population sans motif.

La formulation adéquate s'énonce alors: les personnes âgées en mauvaise santé forment un groupe à risque, de même que les personnes plus jeunes en mauvaises santé.

Il est donc ridicule de vacciner la population, d'abord l'écrasante majorité n'en a que faire ensuite elle ne rendra pas la santé à ceux qui l'ont perdue car on vaccine sans aucun succès contre la grippe depuis des années et le COVID-19 en fait partie.

L'EHPAD ne fait qu'illustrer l'évasement de la pyramide des ages et on y peut rien, on ne va pas sacrifier l'économie nationale pour les vieillards qui en dépendent.

N'est-il pas malhonnête d'omettre l'age moyen des décès, autour de 80 ans? Cela permet d'oublier l'effet du vieillissement de la population et la dégradation concomitante de la santé publique.

Si le confinement géographique et la mascarade ne résolvent rien, il vaut alors mieux les réserver à la minorité de personnes à risque, bien déterminées .

Le traitement avec respirateur congestionne les hôpitaux et s'avère nocif, il existe des remédiations plus légères et efficaces sans hospitalisation mises en oeuvre par les médecins du groupe orthomoléculaire, à base d'eau oxygénée, vitamines C et D, l'anti-parasite ivermectine, le jeûne entre autres.

Paralyser partiellement une économie pour sauver des personnes qui en dépendent semble à tous paradoxal. Cela n'a de sens que si l'objectif reste de fourguer du vaccin anti-grippal que l'on sait inutile et déjà accusé d'effets secondaires désastreux.

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