mercredi 3 février 2021

Une pandémie de paranoïa grippale jusqu'au Zimbabwe

Au Zimbabwé les hivers ne passent pas pour rigoureux à en juger par la faune et la flore de brousse et savane. Pourtant pas moins de trois ministres viennent de tomber sous les traits du COVID-19 en une semaine. Certes ces dignitaires vêtus de costume et cravate, agés et obèses dans un pays que la population fuit pour cause de famine endémique, entraient dans les catégories les plus risquées mais quand bien même, on se demande si leur décès ne serait pas à cause de l'effet placebo négatif, inverse de l'effet placebo positif qui guérit.

En Afrique australe l'été torride baigne la population de soleil radiant, pourtant l'épidémie de grippe bat son plein, la République d'Afrique du Sud déplorant déjà 33 000 victimes sur un million de cas COVID-19. Contrôles frontaliers vains, tests, confinement et vaccin sévissent comme dans l'hémisphère nord en hivers.  Là encore la suspicion d'effet placebo négatif subsiste.

Des naturopathes proposent pourtant des cures depuis le début de cette grippe, simples comme bonjour et coûtant peu ou pas un rond: 

En cas d'infection:

  • jeûne sec de 24h à 72h selon l'état de santé. Si vous êtes en état de jeûner vous êtes en état de guérir.
  • Péroxyde d'hydrogène à 3% en nébulisation dans les voies respiratoires pour terrasser l'infection en 3-4 jours, il s'agit d'eau oxygénée, antiseptique produit par le corps humain.
  • Vitamine C à hautes doses  jusqu'à la guérison, valable aussi en cas d'infection intestinale
  • Anticoagulant en cas d'infection avancée pour éviter les thromboses et embolies
  • Sans oublier les mesures d'hygiène élémentaires notamment la cure de Kneipp, bains et douches froides.

La plupart des médecins déçoivent, bons seulement à confiner le peuple, rentiers de la Sécurité Sociale, catégorie socio-professionelle aux plus haut revenus depuis 2010, emprisonnés dans les traitements que leur hiérarchie impose de prescrire, souvent les plus onéreux.

Pour s'immuniser contre toute infection pulmonaire dans la durée il faut s'infecter et guérir par le jeûne sec deux fois à environ 15 jours d'intervalle d'après mon expérience et les témoignages disponibles. On s'infecte volontairement en baissant sa propre température corporelle de quelques degrés par un bain froid prolongé, car nous avons tous des virus dans les poumons en faible concentration en raison de la température interne. Cette concentration explose sur une baisse de quelques degrés Celsius de température corporelle même un degré. Si on n'arrive pas à s'infecter ainsi alors on est probablement déjà immunisé. Cette méthode à l'intention des personnes aptes à jeûner sec s'appuie sur le potentiel curatif jamais démenti de cette pratique hygiéniste.

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