lundi 6 décembre 2021

Pendant ce temps à Pattaya en Thaïlande

 


C'est pas trop la panique à Pattaya,  sans parler des plateaux pornos qui ne désemplissent pas. Solos, duos, trios ,quatuors à cordes, quintettes à vent tout le long jusqu'au grand orchestre  le tout sans masque et sans capotte ce qui prouve bien si besoin était que toute cette mise en scène pàndémique n'est qu'une sinistre farce sur le compte de Big Pharma.

Le recyclage du porno comme sonde de santé publique, les gars et garces là dedans font gaffe et on y trouve pas trop de co-morbides. La première chose qu'on y vérifie c'est la pièce d'identité, ensuite si l'acteur a l'esprit clair ou pas, d'où le casting-interview généralisé puis à poil pour détecter un éventuel gros défaut physique,  au moindre doute ciao on se revoit plus et merci d'être venu . Sans compter les tests MST et SIDA toutes les quinzaines prétend sérieusement le personnel tournant alors que deux prix Nobel de médecine contestent l'existence du virus du SIDA. Ça ne plaisante pas tant que ça, ça fait juste semblant.

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