Les russes se retranchent derrières leur maîtrise aérienne et leur artillerie approximative pour miner le moral de la population et la résistance ukrainienne, toujours capable de détruire par missile un vaisseau russe. ancré dans le port de Berdyansk. Même avec cette maîtrise théorique du ciel, les russes en sont réduit à détruire systématiquement les infrastructures civiles telles que hôpitaux, établissements d'enseignements, salles de spectacles, scellant une inimitié millénaire. Alors que la Russie détient l'essentiel des leviers économiques ukrainiens par pipeline interposé, le dirigeant imbécile Putin à décidé de sacrifier le quart de l'armée russe engagée contre l'Ukraine, déclencher l'hostilité de l'opinion internationale et risquer son principal centre de profit constitué par les livraisons d'hydrocarbures à l'Europe.
Cependant les réactions européennes s'avèrent de la même veine en ne considérant pas l'arrêt même temporaire de l'approvisionnement en hydrocarbures russes, principale ligne de crédit à la guerre néo-impérialiste déclenchée par Putin. Plus de 2 milliards d'armement livrés où promis ainsi n'auraient pas alimenté une guerre européenne fratricide de plus. On ne cesse de voir à quel point les sanctions économiques s'avèrent dissuasives contre les Etats-voyous tels que la Corée du Nord, l'Iran et le Vénézuéla.
La dépendance énergétique de l'Europe envers la Russie reste le principal écueil à la résolution du conflit comme l'ont observés les dirigeants de l'UE. De là il s'avère avantageux de changer de fournisseur ne serait-ce que temporairement, en se tournant en partie vers le GNL états-unien et en s'engageant verss une politique à plus long terme en ce sens.
La Russie finance sa guerre à 20 Md $ par jour selon le Daily Mail, avec 1 Md $ par jour de hydrocarbures achetés par l'Europe, il y a comme un problème.
Voilà ma modeste opinion.
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