L'Etat d'Israel, parvenu à diviser une administration palestinienne encline à se satisfaire d'un statut d'assisté indéfini, se permet de répliquer du haut de ses trois millions de citoyens musulmans face à un non-État Palestinien en voie de perdition.
Il est à parier que les commentaires défavorables de Pedro Sanchez Président tournant d'une Union Européenne inféodée à Washington n'y changeront rien.
Un Sanchez rayonnant qui vient de jetter aux orties son adversaires des élections générales Feijo incapable de nouer une alliance avec trois autres partis de droite dont deux indépendantistes malgré le bilan calamiteux de la coalition gauchiste au pouvoir: confinement, démographie en berne, immigration, faillite financière. Malgré tout Sanchez prend de vitesse ses partenaires d'une U.E. tiraillée à hue et à dia entre courants politiques à polarisation croissante certes mais sous la ferme tutelle du pouvoir bancaire.
Le Président Macron demeure en indéfinition comme tétanisé par les récents pillages et incessants faits divers liés aux incivilités qui font le lit de l'extrême-droite quand l'Élysée paraît impuissant devant le conflit en Ukraine menaçant de déstabiliser l'économie du continent, laissant le champ libre aux menées des anglo-saxons qui s'en donnent à coeur-joie, ivres de la liberté retrouvée du Brexit.
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