dimanche 28 mars 2010

Vies Parallelles: Zemmour et Quart-de-Nègre

Supposés raciste et antiraciste, Zemmour qu'on ne présente plus, et le parisien quarteron (Quart-de-nègre, le nègre se déchaîne) Claude Ribbe , représentent les deux rives du clivage le plus récent  divisant le PAF (paysage audiovisuel français) .
Quart-de-nègre, ayant fourgué nombre d'exemplaires d'une diatribe non dénuée d'intérêt sur les Antilles au temps de Napoléon (Le Crime de Napoléon), menace (sur son blog, pas de panique) les hommes politiques d'avoir leur tête promenée au bout d'une pique par des jeunes issus de l'immigration africaine - appelés vulgairement "les noirs et les arabes" - sous-prétexte que les premiers leur dénieraient toute chance de devenir un jour président de la république.  Ces jeunes étant réputés intenables il faut leur céder le pouvoir.  La croyance aux races humaines doit être sanctionnée, vu la liberté de parole de certains.
 Voilà exposé l'argumentaire antiraciste, bien qu'aucun jeune d'origine africaine ne prétende pareilles balivernes,  il faut  un quarteron pour proférer de telles sottises, rejetées de part et d'autre, les métis forment souvent une tribu à part et surjouent le rôle de victime. 



Qu'on ne s'y trompe pas, c'est d'abord le ventre de l'industrie éditoriale qui crie famine, d'oú ces doléances pour une part plus équitable de temps d'antenne, du moins si l'on s'en tient aux acteurs de la controverse. Entre en compte aussi la concurrence entre deux victimes universelles, le noir et le juif, pour une part du gâteau compassionnel.

Il n'empêche, les politiciens  semblent ne plus contenir les légions surnuméraires d'africains en territoire français, d'oú  leur instrumentation par toute sorte de manipulateurs. Ainsi la délinquance des familles d'immigrés, prétendent les antiracistes,  aurait pour origine le racisme du pays d'accueil, il y a donc lieu de légiférer afin de corriger les autochtones.

Du coté institutionnel, avec des magistrats de la trempe d'un Bilger, qui préfèrent le déni de justice au risque d'erreur judiciaire, ce simple problème d'ordre public parait insolvable. Pour ces hauts magistrats, même les tueurs en série  ne sauraient être punis de la peine capitale selon la philosophie du droit. La fatalité commande à la société, dont les familles de victimes, d'oeuvrer pour la sustentation des assassins en milieu carcéral. 

Ce qui est interprété, par le nomade et l'enraciné, par le délinquant et l'honnête homme, comme une faiblesse du législateur, une invitation à la criminalité dans une zone de dépression juridique. Rétablissons la clef de voûte du système judiciaire et l'édifice cessera de s'effondrer.


http://www.africancrisis.co.za/Article.php?ID=19522&

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