Des côtes d'Afrique jusqu'aux rives d'Asie, l'invasion d'Europe par les cloportes se poursuit, attírés par l'impunité du crime, l'assistance gracieuse, fuyant les dictateurs qu'ils ont porté au pouvoir. Ils ont franchi l'ancien rideau de fer,t s'étendent dans les Balkans et la plaine orientale, désormais rien ne les arrête.
Comme on le voit dans ces liens, l'invasion s'accomplit en trois étapes, abordage par trois portes: bourse d'étude, passage clandestin et asile politique; ensuite la pompe s'amorce par des associations et affaires commerciales; enfin le flux s'auto-entretien au profit du pays d'origine recevant les remises de fonds familiaux en expulsant le surplus démographique au dépend du pays envahi assumant les charges financières de l'accueil.
Le processus se poursuit jusqu'à la décomposition du pays d'accueil, qui n'a de pays plus le nom, le système judiciaire ou l'économie, comme la France après 50 ans d'invasion de cloportes, minée par la délinquance d'origine étrangère et le pillage de sa sécurité sociale; un exemple parmi d'autres les transports publics de la capitale reçoivent par an 6000 plaintes pour agression, commises en écrasante majorité par des ressortissants d'origine africaine.
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