vendredi 7 janvier 2011

L'Espagne, homme malade de l'Europe

Malade du chomâge officiellement à 20% donc en réalité autour de 25%. Il y a autant de chômeurs que d'immigrés.
Les symptômes secondaires sont l'insécurité civile et l'immigration, les institutions tournant à vide, le financement des syndicats et partis politiques par l'état, le gaspillage des deniers publics.

Zapatero arrive quand le mal est fait, la bulle immobiliére, l'immigration incontrolée, l'insécurité démarrent bien avant son arrivée. Mais il n'a rien vu venir et fut inefficient dans la conduite des affaires, du moins si l'on s'en tient aux chiffres du chômage.

Les mesures à prendre pour la sauver de la banqueroute:
recapitaliser le code pénal pour faire respecter la loi,
rétablir le contrôle aux frontières en renvoyant les immigrés sans travail ou délinquants ou les inciter au départ afin de libérer leur poste pour des nationaux, à moins que leur pays ne prennent les espagnols en charge, cela en tenant compte des affinités essentielles à préserver comme les ressortissants hispanophones.

Conduire les réformes des institutions: reprendre le contrôle des autonomies en vadrouille, abandonner le scrutin proportionnel. Cela les juristent l'entendent et le réclament à longueur de colonne et d'émission.

Conduire les réformes de l´économie: réduire le train de l´état, fluidifier le marché du travail, favoriser le primaire et le secondaire au détriment du tertiaire trop important, se désengager des secteurs non régaliens. Cela les économistes l'entendent et le réclament à longueur de colonne et d'émission.

Aucun commentaire :

Enregistrer un commentaire

Les commentaires sont soumis au filtrage anti-publicitaire de l'hébergeur