lundi 6 juin 2011

Devoir de mémoire, le dévot Khomeyni



Il reste des français, sans doutes stipendiés d'Ahmandinejad, commémorant le décès de Khomeyni, rendons-lui aussi une sorte d'éloge funèbre.

Le savant seulement en Islam avec une prédilection pour les fatwas zoophiles ou pédophiles, s’est retrouvé en 1980 à la tête d’un pays dont l’industrie dépend entièrement des pétrodollars qu’il n’a pas tardé à mener à la catastrophe. En effet, un an plus tard il engagea l’Iran sur fond de querelle religieuse dans une 1ère guerre du golfe fratricide contre l’Irak qui dura huit ans. Cette guerre en entraina une deuxième en 1990 entre l’Irak et le Koweit accusé de ne pas épauler financièrement contre l’ennemi commun iranien, suivie d’une contre-invasion par une coalition américaine. Ce fut le motif des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis qui à leur tour entrainèrent une troisième guerre du Golfe en 2003.
On est donc légitimement fondé à croire que son arrivée au pouvoir en Iran a destabilisé durablement la région, la poudrière du moyen-orient, dont l’économie mondiale dépend.
Aujourdhui en Iran on pend pour dissidence, adultère ou sodomie à raison de plus de 300 executions par an, tout en s’´équipant activement de l’arme nucléaire, ce qui laisse à désirer.
Ainsi une simple baisse de vigilance de l'Occident dans une région controlée naguère par les franco-britanniques jusqu'au relais obligé des américains, permit à un dévot dépourvu de formation hormis le Coran, de débouler sur la scène politique internationale et d'y semer de façon prévisible le chaos dont on est pas encore sorti.

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