Elle est si inexpérimentée - la faute à Sarkozy qui lui a fait une proposition qu'elle ne pouvait refuser ? - que cette exposition médiatique la dessert plus qu'autre chose. Las, la politique est un milieu décidemment incommode pour les jeunes personnes.
A part son gout des hotels de luxe pendant la coupe du monde de football et son aptitude précoce aux tricheries électorales à Colombes, il n’y a en effet guère de raison de s'intéresser à cet individu dont la particularité se résume à venir de l'entourage immédiat du louable, éminent, poète, catholique et potentat Sénégalais Léopold Cédar Senghor, la famille de Rama Yade observant le culte mususulman, une religion qui lapide les femmes ce qui en dit long sur la réalité politique de l'Afrique.
C’est un boulet, comme la Dati. Dès lors rien de tel que hisser à la vice-présidence de l'obscur parti Radical de Borloo un ramapithèque, animal politique corrompu plus courant en Afrique que les rhinocéros à la grande époque, pour le couler d'emblée. Car de l'Afrique, le ramapithèque importe ce qu'elle a de pire, sa politique, dont on se passerais avantageusement.
Après la prestation lamentable du ramapithèque femelle, celle du ramapithèque mâle Patrick Lozes n'est guère plus reluisante si l'on en croit les allégations de détournement de fonds de son association communautariste modelée à l'image de l'inénarrable CRIF, une association de promotion d'une forme d'israelisme, culture dont les tenants lapidaient les femmes religieusesement tout comme l'Islam encore aujourd'hui.
Il est pathétique que Borloo en soit réduit à recycler les rogatons de Sarkozy.

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