Sécurité sociale et éducation nationale, espace de Schengen et Eurozone se traduisent par la multiplication par 5 en dix ans de l'immigration à 12% résultant en un chômage à 21%. Sans compter les illégaux évalués à 800 000.
Les 4.791.232 d'immigrés au 31/12/2009 se composent de 21% de musulmans, 36% de latino-américains, 38% d'Européens, 4% d'asiatiques.
Le nombre de travailleurs étrangers s'élevait à 1,882 223 million au 31/12/2008.
Le nombre de chômeurs étrangers s'élevait à 1,1 million en 2010.
Au premier trimestre 2011, le nombre de chômeurs s'élève à 4.978.300 à 21.5%.
Le nombre de travailleurs étrangers est donc inférieur au nombre de chômeurs nationaux, le remplacement des premiers par les seconds provoquerait une baisse du chômage des nationaux de 30% et leur renvoi une baisse du taux de chômage à 15%.
En Espagne le taux d'immigrés (12%) se répercute intégralement dans le taux de chomâge (24% dont 16% de nationaux)
Dès lors pour éteindre le chômage quelques méthodes s'offrent aux économistes:
le renvoi des étrangers à leurs pénates débouche sur une baisse significative du taux de chômage. La priorité nationale libère les postes occupés par les travailleurs non nationaux et met les chômeurs en attente de reprise ou les incite à quitter le territoite.
La croissance du PIB par l'emprunt national ou extérieur, ou encore augmentation de productivité accompagné de croissance de la demande intérieure et modulation du flux migratoire.
A PIB égal, le partage du travail à productivité égale par la réduction horaire et la modulation du flux migratoire.
Dans tous les cas l'immigration joue le ròle de variable d'ajustement du chômage.

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