Saluons la mémoire du brave soldat français tombé au champ d'honneur au cours d'une opération contre des rebelles islamistes au Mali.
En Afrique, plus un état s'équipe militairement plus il risque d'être renversé par une tribu adverse, d'oú la déficience militaire contre l'invasion islamiste du Mali.
Ainsi, il a suffit de quelques centaines de traine-savattes armés de fusils semi-automatiques pour mettre en péril un état africain que la France doit maintenant secourir avec l'assistance du grand-frère américain.
Certes une telle opération redore le blazon de la France et des Européens pour autant qu'elle se solde par un succès, mais les groupuscules terroristes ont d'ores et déjà atteint l'objectif d'impliquer un grand état afin de gagner en notoriété.
Les flux économiques entrainés par une présence militaire étrangère protectrice sont loins d'être négligeables, contribuant à la sortie du marasme des états frappés par le terrorisme islamique. En d'autre termes l'intervention française serait une aubaine pour l'économie régionale si elle s'éternise, à l'image de la guerre en Afghanistan.
En ce sens Hollande à joué son Royaume et on ne peut que lui souhaiter de réussir rapidement en évitant d'engager des ressources à fonds perdus. Un échec placera le président en difficulté sur tout les fronts dès le début de son mandat.
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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