C'est le cas du Canada, dont les compagnies parviennent à obtenir des concessions minières à l'étranger, globalitairement, au Honduras ou en Espagne, et à l'encontre des populations affectées. Dans le même temps cet état permet d'agir de même avec sa propre population, non seulement avec ses sources fossiles d'énergie mais avec l'ensemble de ses ressources naturelles, remises pratiquement au plus offrant.
Aujourd'hui le saccage a repris de plus belle avec l'arrivé de nouveaux prédateurs internationaux, les BRICS, Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud qui s'attaquent aux proies délaissées par les colonialistes Européens.
Ce n'est pas vraiment le colonialisme qui est en cause, ses tenants sont invariablement d'ex-colonisés, mais l'irrespect totalitaire, athée de la nature, la véritable guerre menée contre l'eau, l'air et la terre, au fur et à mesure que leurs secrets sont percés, la destruction commençant souvent par le territoire national.
Le libéralisme est souvent compris comme la liberté de disposer comme bon vous semble de ce précieux environnement comme s'il n'y avait aucun maître à bord. Le communisme ne s'est guère soucié non plus de l'environnement, asséchant les mers, recouvrant un continent de fumées polluantes, décomposant l'atmosphère à coup de tests nucléaires .
A l'heure qu'il est le libéralisme et le communisme on transformé l'environement en planéte-bidonville que le monde doit commencer á nettoyer dès maintenant. Non seulement ce n'est pas ringard contrairement à ce que disent les agriculteurs imbibés de pesticides, mais c'est plutôt poétique, même bucolique.
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