jeudi 8 juin 2017

Imposture médicale : le diabète type II


Dans la perspective de l'industrie sanitaire le diabète de type II s'avère la maladie parfaite . A la différence de la pneumonie qui nécessite une prise d'antibiotiques pendant 14 jours pour en guérir ,  la première maladie démarre avec un médicament , puis deux , trois et plus , sans compter ceux qui visent les pathologies dérivées telles que hypertension , malaises cardiaques , rénaux et ophtalmiques , démence . De plus ces médicaments se prescrivent pour des années , souvent à vie avec comme conséquence une manne céleste de profits ininterrompus pleuvant sur l'industrie pharmaceutique.

Quelques statistiques dégrisantes

Il y a maintenant quelques 30 millions de diabétiques II aux E.U.A. , trois fois plus de pré-diabétiques . Le coût s'avère ahurissant , 176 milliards de dépenses médicales directes plus 69 milliards de perte de productivité annuels.  Son diagnostic augmente le coût de la santé individuelle de 7900 $ par an. Avant de se raviser , les sociétés pharmaceutiques cotées en bourse se réjouissaient dans leurs rapports financiers annuels de l'augmentation des diabétiques ,  y voyant une opportunité de croissance sans précédent . Elles ont récemment reconnu un possible faux-pas publicitaire et renoncé depuis aux arguments triomphants .

Une lacune majeure dans ce constat


Le diabète II s'avère une maladie du style de vie , lié à un choix alimentaire malheureux et à un moindre degré , l'inactivité , les deffisciences nutritionnelles ajoutées à d'autres modernes dysruptions que des agences de communication posant comme avocates de la santé publique ont empiré . Certes il y a bien une prédisposition génétique mais l'augmentation des cas depuis 1980 conjuguée à celle plus importante des prédiabetes s'avère presque entièrement causée par la société . Après tout la génétique humaine n'a guère changé pendant les trente dernières années . Cette épidémie n'a surgit que depuis la sortie de films comme E.T.I. et Poltergeist .

Choisissons donc de contrôler notre régime alimentaire et par conséquent notre taux de sucre dans le sang avant qu'il ne nous contrôle .

Un fait fondamental

L'ingestion d'hydrates de carbone fait augmenter le taux de sucre sanguin , tout étudiant de première année de médecine le sait de même que les infirmières , les éducateurs du diabète et toute personne qui pratique un test sanguin avant et après un repas . Ingéger de la nourriture en contenant quelques grammes entraine l'élevation du taux de sucre . Plus l'on en ingère et plus le taux de sucre s'élève . Tout le monde sait qu'ingérer du beurre ne l'élève pas , pas plus qu'une bonne portion de viande , d'olives , de broccolis ou de foie de poulet . Depuis que la courbe  du diabète II et de l'obésité s'aiguise dans les années 1980 , le seul ingrédien du régime alimentaire qui s'est incrémenté s'avère les hydrates de carbone , non pas les graisses ni les protéïnes .

William Davis 2007

traduction originale

http://www.wheatbellyblog.com/2017/06/type-2-diabetes-perfect-disease/?inf_contact_key=5fc53acbfd773aa45c233c3a21f7da2648253bd289eebbba02dbc47c79ee8939


Commentaire

Les hydrates de carbone  , ces mécules énergétiques plus ou moins bien assimilées par l'organisme , furent massivement prescrits indistinctement dans les diètes recommandées par diverses agences gouvernementales des pays du Libéralisme Avancé à partir des années 1960 dans un élan de totalitarisme avancé et voilà que des chercheurs scientifiques comme M, Davis en dénoncent les effets planétaires néfastes sur la santé et l'environnement en leur attribuant la cause de l'épidémie d'obésité qui sévit dans le monde . De surcroit le remède élaboré par l'industrie pharmaceutique selon un schéma commercial bien rodé et mondialisé s'avère pire que le mal mais comme ses profits font tourner l'économie donc les banques , on n'ose guère la critiquer ouvertement .
Pour parachever le tableau , si l'on en croit des hygiénistes comme Arnold Ehret ou Robert Morse, les médicaments ne sont pas indispensables pour recouvrer la santé car quelques règles simples de nutrition et d'hygiène suffisent .  Le système actuel repose donc sur des prescriptions alimentaires pathogènes de substitution entrainant des prescriptions de médicaments qui ne le sont pas moins et l'ensemble se retro-alimente en une étreinte fatale économiquement contre-productive avec pour solution en vue le retrécissement de l'interventionisme de l'état en matière d'alimentation et santé publique , traditionnellement  cantonnées aux mystiques , sorciers , hommes-médecine et philosophes . Le stratège ne se confond pas avec le médecin .


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