dimanche 25 mars 2018

Le geste chevaleresque du gendarme Arnaud Beltrame

L'initiative du lieutenant-colonel de gendarmerie Arnaud Beltrame de sauvegarder la vie d'une citoyenne en plaçant la sienne entre les mains d'un fanatique islamique venant d'abattre à bout portant trois citoyens sans défense ne figure pas dans les schémas d'intervention des forces de l'ordre.

Cette initiative s'apparente à un geste chevaleresque donc non sollicité et surpassant de très loin le niveau de risque acceptable pour se solder par la perte d'un officier, précisément l'objectif affiché du fanatique dans sa guerre intérieure soi-disant sainte contre le soi-disant infidèle.

Quelque jours auparavant les principales organisations islamiques du territoire avaient de nouveau exigé de revenir sur la laïcité de l'éducation nationale, principe fondateur de la République. On retrouve invariablement ce schéma dans la guerre soi-disant sainte islamique: sommer le soi-disant infidèle de faire allégeance à l'Islam avant de passer à l'attaque, survivance d'un protocole de l'ère chevaleresque et voyage collectif dans la machine à remonter le temps.

Force est de constater que le geste du gendarme Beltrame s'avère le seul recours laissé par une législation trop obsédée par les droits de son meurtrier pour tenter d'éviter que la délinquance ordinaire ne se tranforme en guerrilla permanente.

Meurtrier d'origine étrangère, délinquant fanatisé dans un contexte de retour à la barbarie islamique affligeant les relations internationales des siècles durant, 20 000 autres de ces janissaires potentiels attendent de passer à l'action dans les fichiers de la police.

Force est de constater aussi qu'il n'y a qu'un parti politique d'envergure, le Front National ou ce qu'il en reste, se risquant à réclamer des mesures en portafaux avec les méthodes socialistes alors que les gaullistes ont renoncé aux leurs du moins celles en vigueur lorsqu'ils tenaient les rênes: retour de la double peine, du droit du sol,  arrêt de la  multi-nationalité, de l'immigration du tiers-monde, retour des immigrés non intégrés.

A quoi il y a lieu de rajouter le retour de la peine capitale, de l'exil, des travaux forcés, l'assimilation des stupéfiants à l'alcool afin d'assécher le trafic et vider les prisons, la dissolutions des organisations islamiques, la fermeture des mosquées prêchant la guerre soi-disant sainte contre le soi-disant infidéle, de manière générale la dissuasion du culte mahométan sur le territoire, culte dont la stygmatisation s'avère justifiée.

Ceci pour la politique domestique quand à l'international un train de mesure s'impose visant à contre-attaquer l'expansion islamiste supportée par les flux migratoires.

Cependant , au sein des salons feutrés fréquentés par les socialo-gaullistes, on préfère poursuivre les activistes de Riposte Laïque, dissoudre les organisations nationalistes comme l'Oeuvre Française, arréter les militants nationalistes comme Hervé Ryssen ou Boris Lelay , qui tous dénoncent á l'unisson l'invasion musulmane, l'immigration incontrolée, l'ingérance étrangère, l'allégeance aux états islamistes et l'endémie du parasitisme islamique séculaire qui a trouvé en France un terreau fertile.




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