lundi 12 mars 2018

Pamela Mastropietro, Luca Trani et les mini-doses de drogues dures

En Italie le 8 février 2018 le meurtre crapuleux de Pamela Mastropietro par un nigérian clandestin se livrant au trafic de drogue suivi d'un raid vengeur par l'agent de sécurité Luca Trani à l'encontre des immigrés africains trouvés sur son passage, révèle une tournure inquiétante prise par le marché des stupéfiants en Europe.

Outre l'Italie l'Espagne s'avère touchée, ainsi des immigrés africains récemment débarqués sur la rive nord de la méditerrannée par diverses organisations soit-disant non gouvernementales, s'installent sur le crénaux des mini-doses de drogues dures à 10 euros, géneralement un mélange plus ou moins frelaté d'héroïne et d'amphétamine à la portée des porte-monnaies les plus démunis , savoir la jeunesse fragilisée par quelque circonstance malheureuse. Pour Pamela il s'agissait d'une parentèle séparée et l'addiction aux stupéfiants de son fiancé qui l'ont entrainé dans ce sentier.

L'affaire revèle selon la presse Italienne , la fragilisation d'une partie de la jeunesse d'après crise, au fur et à mesure que les détails scabreux font surface, comme celui où elle monte dans une voiture pour rejoindre Rome en un trajet qui s'achève dans l'arrière-cours de la maison d'un parent du conducteur qui lui a proposé une passe dont l'argent sera aussitôt dépensé chez le dealeur nigérian d'où Pamela ne reviendra pas. On ne sait si elle a succombé à une overdose ou si elle a été assassinée , si elle a été violée, on l'a retouvée en morceaux dans une valise moins quelques lacunes qui pourraient avoir servi de repas rituel entre nigérians.

On le voit même après trois mois de sevrage, la facilité à retomber dans l'addiction s'avère déconcertante chez une personne fragilisée. Il est vrai que le centre de désintoxication de Macerata prohibait l'alcool mais autorisait le tabac, encore un alcaloïde, erreur fatale dans ce contexte.

Les dealeurs africains s'installent généralement dans des squatts à la faveur de lois laxistes sauvegardant les intérêts du squatteur, notament dans les principales villes d'Espagne gérées par l'extrême-gauche par la grâce d'un calcul politique de la gauche.

Ainsi on peut assister au racolage des rabatteurs en plein centre d'une capitale, le ballet des vas-et-viens des addicts à l'héroïne bon marché, parfois de frêles européennes, se succédant aux portes de hideux dealeurs africains fraîchement débarqués, le tout au vu et au su de la police qui soi-disant ne pourrait rien faire, justice de classe oblige.

Le mur des cons, le syndicat de la Magistrature, cela vous reviens? On les voit à l'oeuvre en Espagne, avec une région au bord de la sécession et une capitale aux mains des dealeurs-squatteurs clandestins , bouffonerie dans la grande tradition de la Comedia Dell Arte si elle ne se terminait en tragédie.


Pamela Mastropietro, 18 ans, périe des mains d'un nigérian clandestin, R.E.P.







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