jeudi 27 janvier 2011

Alexandre Douguine



Dans cet entretien, Alexandre Douguine trouve l'homme soviétique supérieur à l'homme post-soviétique et à l'homme occidental d'une europe décadente et américanisée. Il regrette les valeurs idéalistes telles que solidarité et désintéressement animant le citoyen de l'URSS.

Raison de plus pour penser qu'elles ne sont pas suffisantes pour rendre un projet politique viable, vu comment l'expérience s'est terminée. Il manquait un troisième pied au tabouret, une tradition spirituelle transcendant les contingences matérielles que même le plein emploi n'a pu substituer.

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