Un refugié de nos
jours le devient pour des raisons politiques ou humanitaires, aujourd'hui près
de 4 milliards de personnes conviennent aux critères retenus par l'Union
Européenne et les autes pays anglo-saxons. Ils observent une politique semblable en la matière, l'acceuil tout azymut. Elle repose exclusivement sur des fonds publics au détriment du citoyen.
L'article porte sur les E.U.A. mais se transpose facilement à l'Europe, où un réfugié soudanais vient de décaniller 3 personnes dans un bus en Norvège, un congolais zigouiller deux européens en Suède .
L'article porte sur les E.U.A. mais se transpose facilement à l'Europe, où un réfugié soudanais vient de décaniller 3 personnes dans un bus en Norvège, un congolais zigouiller deux européens en Suède .
Comme on le verra, la relocalisation depuis le tiers-monde vers l'occident c'est d'abord une affaire qui tourne rond, pour quelques agences de l'ONU, organisations caritatives, et les réfugiés eux-mêmes.
Traduction de
l'article paru sur American
Renaissance à propos du dossier “Refugee Racket,” The Social Contract, été 2013, libre sur Internet.
Somaliennes du Vermont
Un cauchemar bureaucratique appliqué à l'immigration
Depuis 1975 plus
de 3 millions de réfugiés furent réimplantés aux EUA. On les y admet depuis 1948. Quelques uns remplissaient bien les conditions
d'admission, à savoir un danger de mort imminent et sans alternative.
Pratiquement tous étaient européens , sur place ils devaient se prendre en
charge en l'absence d'agence extérieure pour couvrir leur frais d'installation.
Pendant la guerre
froide les EUA maintinrent le flot. Après la guerre du Vietnam,
l'Acte du Refugié , voté en 1980, le redéfinit comme “personne qui ne veut ou ne
peut retourner dans son pays . . . à cause de persécution ou d'une peur fondée
de persécution . . . ,” et affecta des fonds publics à sa relocalisation.
Quiconque a
quitté son pays et ne veut y retourner passe donc pour un refugié potentiel .
Jusqu'aux années 1990, les EUA décident qui va en bénéficier, depuis, une
agence de l'ONU nommée Haute Commission des Nations Unies aux Réfugiés (UNHCR)
choisis près de 95 pour cent des refugiés. Le Président et le Congrès décident
encore leur nombre, usuellement entre 60,000 et 80,000 par an mais le processus
est afermé à des gens qui ne sont pas même citoyens.
Les EUA se
comportent généreusement avec l'UNHCR, lui attribuant $700 million par an, bien
plus que le cumul des autres pays , et
prennent en charge 75 % des réfugiés. En fait, les EUA en acceptent le plus par
tête sauf deux pays, l'Australie et le Canada. Bien entendu, les dix pays
les plus acceuillants sont peuplés en majorité d'européens d'origine, jusqu'à
présent.
La plupart des
Etatsuniens seraient surpris des gens que l'UNHCR envoie. Comme le montre ce
tableau, les deux contingents les plus importants en 2012 sont originaires du
Bhoutan et de Birmanie (Myanmar). Du Bhoutan? Il s'agit de népalais clandestins
réfugiés dans leur propre pays dont
les habitants ne veulent pas, d'où la décision de les envoyer aux EUA par UNHCR interposée. Comme un des auteurs du “Refugee Racket” note:
Les EUA sont devenus la décharge publique des populations se trouvant en un lieu oú la majorité n'en
veut pas, comme les Nepalais au Bhoutan, les musulmans Rohingya au Myanmar,
les Somalis au Kenya.
Les “Somalis”
mentionnés ne le sont pas vraiment. Ce sont des “Somalis Bantous” qui
suscitèrent des réactions incrédules de la presse quand l'UNHCR commença
leur relocalisation en 2003. Ils sont originaires de l'actuelle Tanzanie et du
Mozambique, mais furent capturé au 19éme siècle par des trafiquants d'esclaves
qui les vendirent aux Somalis. Ils sont nominalement libres, mais les Somalis
les considèrent inférieurs. Ils moisissaient en camps de réfugiés au Kenya
quand des bureaucrates onusiens decidèrent qu'ils feraient de bons Etatsuniens.
Beaucoup
n'avaient jamais vu d'interrupteur électrique ou de plomberie domestique,
donc ils se devaient un certain ajustement culturel. La plupart étaient
illétrés, ne parlaient pas anglais, et n'avaient pas de profession, donc leur
perspective de carrière s'avéraient minces. Les EUA en ont 13,000, et
puisqu'ils aiment avoir des enfants , on peut s'attendre à beaucoup plus à
l'avenir.
L'autre grand
changement de la loi de 1980 fut de susciter l'apparition instantanée d'une
industrie de la relocalisation; des groupes se matérialisèrent dans l'objectif
d'accaparer les fonds publics soudainement disponibles. Connus sous le nom
d'“Agences de Volontaires” ou Volags, beaucoup sont liées à une église et
portent des noms comme Service Mondial de l'Eglise, Ministères Episcopaux de
la Migration , et Société Hébraïque de l'Aide à l'Immigrant. Du
gouvernement ils touchent $1,875 par
refugié placé au pays. Ils dépensent $1,100 sur le refugié et gardent $750,
donc les Volag poursuivent de gros volumes. En tout, ils touchent près de $40
million par an d'argent public, dont une partie pour influencer le congrès afin
de maintenir le flux financier. Les plus gros Volags n'ont essentiellement pas
d'autres ressources.
La Société
Hébraïque de l'Aide à l'Immigrant (HIAS) fut montée en l'absence de fonds publics pour que les juifs russes
partent d'URSS. Tous les juifs souhaitant
partir l'ont fait, donc l'HIAS se réorienta vers une nouvelle specialité,
l'envoi de Soudanais, Kenyans, et Ougandais en Amérique du Nord. Les Volags embarquent
leurs clients dans les camps de réfugiés de l'UNHCR, donc tout le manège est
payé sur fond public.
L'UNHCR est
censée choisir uniquement les pires souffreteux pour la relocalisation, mais elle écarte difficilement la subornation.
Aussi, la plupart des pris en charges proviennent de pays où rien ne tient lieu de vérification d'identité, l'UNHCR peut bien ne pas la connaître. Ce qui signifie qu'elle ne peut détecter les jihadistes, criminels, et psychopathes.
l'UNHCR ne prétend même plus détecter le SIDA ou la tuberculose, garantissant
une foule bigarrée de réfugiés.
Comparés à
d'autres immmigrés, les refugiés vont en première classe. Dès qu'ils touchent
le sol, ils deviennent éligibles à toute aide à laquelle un citoyen à droit.
Les Volag qui se les coltinent leur trouvent un endroit où aller et leur
montrent comment toucher des allocations, après deux ou trois mois leur
responsabilité s'arréte là, et reviennent vers l'UNHCR réceptionner un nouveau
lot à relocaliser. La commune de destination — à qui on a
probablement pas demandé l'avis avant que les Bhoutanais ou Bantous n'y soient débarqués — doit alors nourrir, vétir, loger, et tenter
d'éduquer ces Etats-uniens en devenir.
En 2009, un suivi
des réfugíés par le gouvernment en trouva sur cent 70 sur tickets
d'alimention, 58 sur aide médicale (seuls 9 disposaient
d'une assurance via leur employeur ), 38 touchaient une assistance en
espèces, et 32 étaient logés par l'administration. Sans doute,
quelques uns touchaient l'ensemble des aides. Le taux de dépendance continue de
grimper.
La plupart des
Volag clament que 65% de leurs assistés sont autonomes après quatre mois mais
c'est une blague. Pour eux, l'autonomie inclue tout les aides qu'un réfugié
peut toucher, il est autosuffisant s'il peut vivre de la providence publique,
tickets d'alimentation, logement subventionnnés etc. Ils sont considérés comme
autonomes s'ils ne demandent pas d'argent en sus des allocations (et
revenus s'ils travaillent). Le coût annuel de la relocalisation s'évalue à un
milliard mais seulement de manière directe, avec l'assistance publique il
grimpe à 10 milliards.
Ces “fournisseurs
de service”, tout comme beaucoup des contractants, sont maintenant
gérés par des ex-refugiés. De fait ces fournisseurs de second et troisième
ordre forment des clubs ethniques exclusifs aux liens forts étroits avec la
patrie d'origine.
Naturellement,
ils contribuent à la venue de davantage de personnes de leur communauté.
Les refugiés
présentent un autre avantage sur les immigrants légaux. Pendant les deux
premières années, ils peuvent regrouper leur famille, qui ne figure même pas
dans le quota annuel. Les refugiés ont souvent de grandes familles, parfois étrangement. Des tests DNA ont montrés que 95 pour cent des Somaliens regrouppés
n'étaient pas apparentés.
Quelques communes
réduites refusent d'être une décharge publique. Quand elles ont vent d'une bande
d'illétrés fondant sur eux elles font un tel tintouin que le ministère de
l'intérieur dit au Volag d'aller fourguer leur marchandise ailleurs. La plupart du
temps, les Volags ciblent de grandes villes qui ne peuvent prétendre qu'il leur
est impossible d'accepter quelques enfants abandonnés supplémentaires, mais mêmes des objectifs
faciles peuvent être poussés à bout. Les Volag ont donc dispersé leur largesses dans chaque état, (a part, bizarrement, le Wyoming), et l'Arizona attrape le plus
de refugiés par tête.
Minneapolis fut
longtemps en souffrance. Fin 2010, elle supporta 40% des 84,000 Somaliens
relocalisés. Toutefois, ils devinrent le noyau d'une population estimée à
125,000 incluant les clandestins. Les Somaliens se specialisent dans la fraude à
la carte de crédit, le vol de téléphone cellulaire, le cambriolage d'armurerie,
la prostitution de jeunes filles. En Mai 2013, de jeunes Somaliens
s'attaquèrent aux coureurs à pied de Minneapolis. Ils ne s'en prirent pas
à leurs biens, leur but était d'humilier.
Le système
clanique Somalien se joue de la justice étatsunienne. Si un Somalien tue un
membre d'un autre clan, une indemnisation est offerte pour le sang versé,
souvent à la mère de la victime restée au pays. Le procureur ne trouve pas de témoin
et le meurtrier échappe à la justice.
Plus de 20
Somaliens du Minnesota sont partis combattre dans les rangs des terroristes
d'al-Shabab, au moins un “étatsunien” s'est fait exploser lors d'une
attaque-suicide. Pas même le plus sinistre gauchiste prétend que les
Somaliens sont une bénédiction pour Minneapolis. Les noirs locaux les
haient.
L'autre notoire
concentration de Somaliens se trouve dans le Maine. Des Somaliens entreprirent
de trouver les plus généreuses allocations , et tombèrent sur l'improbable
ville de Lewiston. Les déboires de cette
ville jadis industrielle de 35 000 habitants ont défrayé la chronique.
D'autres notables
refugiés, la famille Tsarnaev, arrivèrent en 2002 du Daghestan. Ils y
retournèrent pour une visite quelques années plus tard, montrant ô combien
ils étaient persécutés. Les Russes signalèrent que Tamerlan Tsarnaev était un
Musulman fanatique, mais on y prêta guère attention. Tamerlan et son frère
Dzhokar bombardèrent le parcours du Marathon de Boston en 2013.
Il y a une
catégorie distincte de quasi-refugiés dénominée “demandeurs d'asile” Ils
franchissent d'abord la frontière et formulent alors une requête de “peur
fondée de persécution.” Une fois sur le
territoire , leur premier mot est souvent “persecution”. Cela signifie qu'on ne
peut les renvoyer au delà de la frontière.
Il n'y a pas de
plafond annuel au nombre de demandeurs d'asile, ni de limite à leur creativité.
Dernièrement, on s'est efforcé de définir des classes entières de population
sujettes à persecution, afin de les rendre éligibles à l'asile qu'ils en soient
victimes ou non. Exemple,
l'homosexualité constitue un crime dans quelques pays africains, le plan est de
rendre tout homosexuel de ces
endroits automatiquement éligible. Un immigré Congolais illégal qui fait
de l'euil à un douanier se positionne sur le chemin d'une carte de verte.
Dans bien des
pays Africains on mutile les parties génitales féminines, donc toute femme de
ces contrées pourrait se porter candidate. Quiquonque
cherche à échapper à la politique chinoise de l'enfant unique ressent une “peur
fondée de persecution” selon certains et devrait donc bénéficier du tapis rouge. Des
immigrants illégaux ont essayé jusqu'à présent tous les trucs, et sont relachés aux Etats-Unis en attendant que le juge de l'immigration débate
de leur sort.
En été 2013, un
groupe de jeune Mexicains renvoyés au pays en revînt au motif d'y ressentir un
“peur fondée de persécution” pour avoir vécu aux Etats-unis. Le “DREAM
9” comme ils s'intitulent, persuada un juge de revoir leur cas, et fut
relaché aux EUA. Le dernier truc des Mexicains consiste à clamer que les
cartels de la drogue — des barbares — justifient leur demande
d'asile.
Une fameuse
demandeuse d'asile que cette Nafissatou Diallo, la Guinéenne qui accusa l'ex
directeur du FMI Dominique Strauss-Kahn de viol dans un hotel de Manhattan. Sa
plainte s'effondra quand le procureur
découvrit quelle menteuse expérimentée elle s'avérait. De même elle mentit sur
toute la procédure de demande d'asile, mais elle demeure toujours aux EUA, empochant
près de un million après frais d'avocats sur la compensation arrangée avec M.
Strauss-Kahn au civil.
Parfois des gens
parviennent à demeurer aux EUA car la nature elle-même les persécute. Ils
obtiennent ce qu'on appelle le Statut Protegé Temporaire, signifiant qu'il
serait trop cruel de les renvoyer dans leur contrée en un tel bazar. Dans ce
cas, le mot “temporaire” apparait dépourvu de sens. Par exemple, l'ouragan
Mitch frappe le Honduras en 1998 et tue 15,000 personnes à l'estime. On décida
que les Honduriens aussi clandestins soient-ils, ne devraient pas revoir leur pays ravagé,
ils purent donc rester. 15 ans plus tard, ils jouissent encore de leur Statut
Protegé "Temporaire".
El Salvador
souffrit un vilain tremblement de terre en 2001. Résultat, un million de
Salvadoriens — 20 percent de la population — sont “temporarairement” à l'abris
aux EUA. Leur gouvernment ne veut pas qu'ils reviennent. Chaque année,
ils virent $4 milliards, ou près de 18 pourcent du PIB.
Le tremblement de
terre de 2010 en Haiti fut un coup de chance pour les Haitiens clandestins
aux EUA. 60 mille s'abritent “temporairement” en son sein.
Sans même tenir
compte des catastrophes naturelles, Wayne Lutton, éditeur du "Social
Contract", souligne que selon la définition de persécution, près de 4 milliards
de personnes sont éligible au droit d'asile. "Freedom House" avance
que 34 pour cent de la population globale n'est “pas libre” et 23 pour cent le
sont seulement “partiellement.”
Les Etats-uniens
seraient furieux s'ils savaient comment sont gérés les refugiés et demandeurs
d'asile. Le "Social Contract" a rendu un fier service en éclairant
les coins sombres de ce system pourri qui devrait être aboli.
Ndt: idem en Europe
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