vendredi 8 novembre 2013

Les immigrés non européens de Grande Bretagne



Les immigrés non européens ont reçus une contribution nette de 100 milliards de livres en allocations et services sur 16 ans, a révélé hier une étude de l'Université College de Londres. Sur cette période le coût de bien-être, santé et éducation de cette classe sociale était 14% plus élevée que leur contribution, contre moins 4% pour les immigrés Européens et plus 7% pour les britanniques.


Des chômeurs font la queue devant une agence de l'emploi en Grande-Bretagne


Un flux tout frais : affiche promotionnelle d'une firme de Bucarest, la capitale Roumaine, recrutant des travailleurs pour la Grande Bretagne dès l'ouverture des frontières l'année prochaine.

Cela s'explique en partie par leur structure démographique – les immigrants hors EEE ont plus d'enfants que les autochtones, et des dépenses d'éducation sont allouées aux enfants d'immigrés.

L'analyse vient à point nommée pour alimenter la controverse sur le coût de santé et tourisme social alors que l'anxiété de l'impact potentiel d'une nouvelle vague d'immigration venue de Roumanie et Bulgarie est à son comble.

Les citoyens de  ces contrées qui ont  rejoint l'UE en 2007 obtiendront le droit de travailler en Grande Bretagne dès janvier.

Des firmes britanniques recrutent activement des travailleurs à Bucarest alors que les agences de l'emploi en Roumanie sont déjà interrogées sur la façon de réclamer des aides publiques en Grande Bretagne.

La population immigrée non-européenne s'est accrue de 2.2 millions entre 1995 et 2011, atteignant  6.15 millions en 2011. Celle des immigrés de l'EEE est passée de 2 millions à 2,85 millions, elle a fait une contribution nette au trésor public de 6.5 milliards.

ndt : l'immigré non Européen de 1995 et sa multiplication démographique à couté au budget national 1562 £ par an pendant 16 ans contre un gain de 203 £ par immigré européen de cette même année.

La probabilité de réclamer des allocations est 20 % supérieure chez les immigrés mais les récents immigrés sont probablement en age de travailler et donc engagent moins de dépenses d'éducation et santé.

Les immigrés non Européens depuis 1995, contribuent négativement au budget national, quand ils comptent les deux-tiers de l'immigration étrangère des quinze dernières années.
 
ndt
14% ne valent pas un débat national, il ne faut pas compter seulement les coûts apparents, Jean-Paul  Gourevitch trouve ainsi un déficit annuel imputable à l'immigration de 71 milliard en France.  

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