C'est le blé moderne qui est mis en cause entre autres par un cardiologue étatsunien William Davis qui le défini comme un opiacé dont la mutation récente et généralisée n'est qu'un fac-similé bon marché des variétés traditionnelles. Il affirme que depuis sa prescription d'une diète sans blé il n'opère quasiment plus, seulement dans les cas rarissimes de maladie trop avancée.
Il s'est interrogé sur son propre cas et d'autres qui comme lui surveillaient leur alimentation et leur activité physique mais sans succès pour leur silhouettte et bien-être. Comme seul commun dénominateur il trouva le blé et se dédia à en rechercher la cause.
Les docteurs Frankestein de la génétique financés par les industriels de l'agro-alimentaire ont accouché d'un blé modernisé doublement hybridé, au nombre triplé de chromosomes, suspecté transgénique avec des gènes aux effets impossibles à déterminer, traité aux pesticides et herbicides, incapable de survivre sans l'homme et bien pire en nutrition que le blé traditionnel déjà nocif quoique moins présent dans l'alimentation d'antan. Il induit les maladies typiques de la démocratie libérale avancée, cardio-vasculaires, psychiques, de peau, les diabètes, l'obésité, les arthrites et une kyrielle de maux et nuisances en découlant.
La France, l'Europe, l'Occident ne sont pas malades d'une idée, soit l'islam, sionisme, gauchisme ou démocratie mais d'abord de leur nutrition industrialisée. C'est aussi grandiloquent que confirmé, du moins si l'on s'en tient aux faits.
Au pays de la baguette nous avons du pain sur la planche pour passer à la nutrition sans blé avec en prélude au sevrage, le retour impératif au blé traditionnel. Les fermiers de la Beauce, récepteurs de fonds européens, devront se reconvertir à l'agriculture naturelle; le lobby du blé coté en bourse, devra revoir ses flux financiers; les boulangers aussi car on oublira la baguette, le croissant, les patisseries, de même que les spaghettis puisque c'est le prix à payer pour conserver la ligne de flottaison. Si le génie propre à l'Occident est dû selon certains auteurs aux propriétés opiacées et addictives du blé, une céreale d'origine occidentale qui suit l'européen dans ses pérégrinations, il devra quand même y renoncer puisque les nuisances prévalent.
La remise en cause de ce dogme alimentaire nous vient encore une fois des E.U.A. , si cela peut consoler, le renverser n'y sera pas non plus une tâche facile, d'autre part le taux de surpoids y dépasse les 70% alors que l'Europe lui emboite le pas.
Le coupable serait la logique financière derrière la logique industrielle. La solution serait d'abandonner les aliments conditionnés pratiquement tous susceptibles de contenir du blé et du sucre, tout en exerçant une activité physique régulière jusqu'à retrouver la ligne du parti;
Un article laudateur sur le père d'Aestivum Triticum, Norman Borlaug, crédité de l'autosuffisance alimentaire de l'Inde. Certes mais au prix de quelle soutenabilité, dépendance, santé publique et désillusion?
Fawkes
La conférence pour les experts en nutrition à bas carbohydrate. Indispensable.
Le meurtre par le blé. Carrément. Entretien radiophonique.
10 raisons de ne pas manger du blé
Un autre médecin qui dénonce le blé comme facteur d'obésité dans une démonstration historique et médicale
Une convertie qui a retrouvé en plus du sourire le bon gout musical, enfin cinq ans pour descendre de 110 à 72kg c'est trop à mon avis en courant pendant trois mois c'est bon.
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