Un catalan à Matignon et une andalouse à l'hotel de ville de Paris, c'est un signe du désintérêt des français pour leur république que les ibériques ont toujours enviée. Désormais des places parmi les plus en vue sont occupées par des personnes nationalisées à leur majorité.
Même si Valls semble détenir de cette énergie perdue par les vieux routiers de la politique socialiste, manifestement au bout du rouleau, cette nomination ne fait qu'entériner le remplacement par la gauche molle de la droite molle, au moins en matière d'économie, quand la situation financière et internationale se durcissent et à l'horizon ne se profile que le pacte de Responsabilité-Solidarité pour sortir de l'ornière.
La sortie de crise croyons-nous passe par les solutions écologistes pour réparer les dégats sur l'environnement et gaullo-communistes pour les dégats sur l'économie causés par les banques et le système financier qui a pris le mord aux dents, ça tombe bien ce sont des alliés, au moins théoriques, du PS.
Donc rien n'est perdu, à Valls de jouer.
lundi 31 mars 2014
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