Le coût ? les quelques 150 000 morts de la guerre civile syrienne depuis son élection. Avec Sarkozy l'affaire Khadafi n'avait pas trainé, de son initiative et grâce au fringuant B. Henry-Levy, en embarquant le Royaume-Uni, les E.U.A. puis l'OTAN dans l'aventure, il a débarrassé le monde d'un despote qui terrorisait son peuple, commanditait des attentats et sponsorisait le terrorisme international. Hollande n'a été pris au sérieux ni par Cameron ni par Obama, subissant un revers qu'il ne peut effacer qu'en envoyant la troupe déposer le tyran syrien avec les alliés qu'il jugera bon de se gagner. Sinon, il passera aux yeux de son camp occidental pour un pusillanime, qui aura raté son occasion d'entrer dans l'histoire, contrairement à Sarkozy. C'est là son principal défi à relever, faire fi d'un Poutine encore inconscient des conséquences de protéger pareil tyran, remonter une coalition et foncer vers Damas.
C'est tout le mal qu'on lui souhaite, avec à ses cotés le capable Fabius, qui dès le début décela le despote sanguinaire Al Assad.
jeudi 3 avril 2014
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