Lors dés ébats sur les nouvelles manières de naître, PMA GPA, on rappelle qu'en1900 une française sur quatre n'enfantait pas contre une sur dix à partir des années 1950 mais aujourd'hui un autre fléau fait irruption puisqu'une famille sur quatre se révèle monoparentale. Le quart de femmes infertiles en 1900 ne le sont largement plus grâce aux progrès de l'hygiène, la médecine et les allocations à gogo mais elles restent incapables d'une vie de couple puisqu'à l'époque les couples infertiles ne tardaient pas à divorcer.
La ministre des Solidarités et de la Santé soutient qu'il n'y a aucune différence entre leurs enfants et ceux des familles de couples. Voire, nous ne sommes plus au moyen-age mais à cette époque un prisonier sélectionné pouvait se libérer de sa peine à condition de se marier avec une mère sans mari qui l'aurait choisi, ce qui sous-entend que la progéniture et la mère gagnerait à l'opération.
On a déjà remarqué la relation directe entre taux d'allocations, taux de familles monoparentales et misère crasse aux E.U.A. On refait la même erreur ici, normal, l'état providence reste le péché mignon du socialaud-communistes, manière d'acheter les élections, miel de l'immigration économique en relation tout aussi directe avec le taux d'allocations.
En baissant ce taux d'allocations on fait d'une pierre plus de deux coups sur les taux de familles monoparentales, de misère et d'immigration, sans compter le déficit budgétaire et la dette. Voilà ce qui s'appelle un effet de levier.
dimanche 29 septembre 2019
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