mardi 31 mars 2020

De la nécessaire précocité du traitement contre l'infection pulmonaire

Si les médicaments contre la grippe s'avèrent efficaces quand on les prend suffisemment tôt, dans les deux jours suivant les premiers symptômes, il en est de même pour le Plaquenil, ce médicament composé d'un anti-viral dérivé de la quinine d'une part et d'un antibiotique d'autre part, préconisé par certains médecins contre le coronavirus..

Il en est ainsi pour le jeûne, son action s'avère d'autant plus efficace qu'il se mène précocement, son résultat plus rapide. Le système immutaire libéré des tâches digestives consacre tous ses moyens à lutter contre l'intrus, le parasite, virus ou bactérie.  Le jeûne , loin d'affaiblr l'organisme, le renforce en eliminant les toxines, le superflu. Jeûner sec 72 heures ne pose pas de problème particulier, à moins d'être en très mauvaise santé.

Un facteur de vulnérabilité à la grippe, donc aux infections pulmonaires, à ne pas néglider s'avère l'alimentation de céréales, notamment le blé,  car il débilite l'organisme par sa difficulté à le digérer. Comme le défend le médecin et auteur étatsunien William Davis, qui privilégie la préservation du système immunitaire..

Dans un autre registre, 700 000 vieillards séniles dépendants hébergés en hospices, rebaptisés EHPAD, révèlent la sénélité de la population française, vieillissante à vue d'oeil. Il s'agit du phénomène d'inversion de la pyramide des ages, dont le coronavirus n'est qu'un symptôme.

La solution s'avère économique, stop à l'état providence, remettre les oisifs vivant d'allocations publiques au travail, il y a tant à faire, en commençant par la base, agriculture et élevage.

L'élevage se révèle insoutenable par sa rentabilité à l'hectare infime comparé à l'agriculture sans parler du traitement indigne infligé aux animaux, L'agriculture doit à son tour se voir réformée en banissant les pesticides, les engrais chimiques, stérilisant la terre. Reboiser s'avère de même la priorité, pour nettoyer l'air, inverser la désertification, il s'agit de favoriser l'agriculture durable au détriment de l'élevage, le tout nécessitant de la main d'oeuvre  à épuiser le stock d'oisifs.

Il n'y a pas lieu de paralyser l'économie pour une simple grippe, il n'y a pas de médicaments miracles qui effacent la vulnérabilité de la population, acquise en vieillissant dans un environnement en toxicité croissante depuis 50 ans . La société industrielle mondialisée se voit pointée du doigt, des déchets tehnologiques, aux plastiques jettables en passant par la pollution chimique, l'industrie se voit remit en question.

Il y a lieu de repartir sur de nouvelles bases liant la sauvegarde de l'environnement avec le développement.

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