samedi 21 mars 2020

Les aubaines du coronavirus

Le coronavirus présente un effet d'aubaine valant son pesanr d'or. Les eaux de Venise redeviennent limpides, vision que l'on croyait définitivement oubliée, les dauphins nagent dans les ports de pêche de Sardaigne, les oiseaux s'entendent de nouveau dans les villes, l'air se dépouille de sa charge de particules polluantes et redevient respirable. Le coronavirus octroie un répit fort attendu à l'environnement, au grand soulagement de la communauté scientifique.

Un coup d'arrèt à l'acharnement gériatrique, justifié seulement par les profits des chaines de maisons de retraites cotées en bourse, voyez les multiples scandales autour des EHPAD.

La prise de conscience de la fragilité écologique s'étend, le doute s'installe sur la pertinence du dispositif sanitaire à la solde de l'industrie pharmaceutique.

La nécessité impérative de revenir à l'autonomie alimentaire nationale, notamment l'agriculture soutenable pour l'environnement et la santé.

La nécessité de contrer l'invasion de l'économie chinoise dans la plupart des secteurs industriels, de l'extraction à la livraison en passant par la finition des produits manufacturés.

Surtout il s'agit de l'occasion révée d'injecter un peu d'éthique dans la corporation médicale qui abandonne le serment d'Hyppocrate, soit de lier les contraintes écologiques telles que la lutte contre la pollution et le maintient de la bio-diversité aux considérations sanitaires, préoccupation du mouvement hygiéniste. Une pensée caractérisée par la défiance envers la médecine symptômatique, les vaccins, les maniaques du scalpel ou de la chimiothérapie.

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