samedi 21 mars 2020

Le confinement de masse, folie médicale et économique

Le virus ne s'avère dangereux que pour les personnes fortement immuno-déficientes, vieillards séniles, obèses, fragilisées par un historique d'infection grave. Pour 98 pour cent des infectés il s'agit d'une grippe bénigne. Parmi les 2 pour cent restant,  seule une faible minorité s'expose à un danger fatal, principalement des personnes en fin de vie selon les médecins. Sur le navire de croisière japonais confiné, 7 morts sur 700 infectés sur 3000 passagers passablement agés.

Confiner des millions de personnes s'avère une folie médicale digne du Père Ubu dans la mesure où le virus se véhicule d'abord par des animaux sauvages tels la chauve-souris ou le pangolin qui peuvent infecter les animaux domestiques et les humains.

Même si le virus s'éteint dans une population confinée, elle ne sera pas immunisée, donc susceptible d'une nouvelle infection fortuite. Chaque année en France la grippe emporte 10 000 personnes malgré les nouveaux vaccins, véritables centres de profit.

Le confinement s'avère une folie que seul un régime totalitaire comme la Chine Populaire se permet d'exercer à l'encontre de sa population, reprogrammée et réprimée par le Parti Communiste sous la menace des camps de travail ou pire. Le PCC oprime et colonise le territoire des ses grandes minorités ethniques ou culturelles, au bas mot 150 millions de personnes entre tibétains, ouighurs, mongols, chrétiens, adeptes du Falen Gong, le bouddhisme réduit depuis longtemps en attraction touristique.

Un atelier global comme la Chine vit du mouvement des marchandises et des personnes, intra-muros et  traversant les frontières, non négligeable s'avère la probabilité d'une nouvelle infection propagée globalement.

Ni la Russie, la Corée du Sud, Taiwan n'ont choisi le confinement de masse, seuls quelques cas se présentent malgré ses 4000 km de frontières entre la Chine et la Russie, pourtant elle résiste à toute contagion significative. La Hollande, la Suéde, le Royaume-Uni dans une moindre mesure ne cèdent pas non plus à la panique, s'épargnant l'effondrement de l'économie des classes laborieuses touchant déjà les pays confinés, notamment l'Espagne et l'Italie, dépendant fortement les secteurs touristiques et des services.

Il est à prévoir et espérer que les mesures soient levées prématurement , ne serait-ce que pour éviter les troubles sociaux graves sur les lieux de travail et à domicile, la perte des revenus et de moyens  d'existence sans compter la faillite des entreprises, dans un confinement par ailleurs illusoire dans les pays latins.

Il s'agit de la pire mesure que le gouvernement pouvait adopter, en appliquant un remède pire que le mal sur la population dépouillée de ses ressources.
Nous avons affaire avant tout à un virus de panique qui se propage sur l'Internet, que les gouvernements démocrates cherchent à controler dans un contexte électoral difficile .

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