La responsabilité acablante du PCC dans l'épidémie de Coronavirus

Il s'agit d'un document produit par le média des réfugiés chinois continentaux en Amérique du Nord NTD, principalement des Falun Gong, tibétains, uïghurs, mongols, chrétiens entre autres.

Il accuse les autorités chinoises de la synthèse du nouveau coronavirus dans un laboratoire de Wuhan, en mêlant recherche médicale et guerre bactériologique.

Il met en évidence le mélange des genres recherche médicale et militaire pratiqué au plus haut niveau et  ne laisse aucun doute quand à la responsabilité du PCC dans l'épidémie.

Le virus s'avère une combinaison de divers coronavirus syntétisée au laboratoire P4 de l'institut de virologie de Wuhan, où travaillait la victime zéro. Quand l'épidémie s'est déclarée le PCC a confiné la province de 57 millions d'habitants mais pas les liaisons aériennes internationales et sans avertir la communauté internationale.

Le fils du dirigeant Jiang Zhemin a dirigé la contruction et le financement du laboratoire de bactériologie P4 de conception française, son fils contrôle la société détenant les droits sur le médicament étatsunien Remdesivir contre le coronavirus.

Un membre de la nomenklatür chinoise dirige la recherche sur les coronavirus et son fils produit exclusivement le médicament conte le virus: voici  la recette typique du capitalisme chinois.

Dans le même genre Jiang Zhemin emprisonne les Falun Gong par dizaines de milliers à partir de 1999, son fils jiang Meynin dirige un goupe commercial constitués d'hopitaux et de laboratoires se finançant sur la transplantation d'organes vitaux prélevés sur les prisoniers du système carcéral.

I._ Le narratif du marché aux poissons de Wuhan

Le PCC s'est empressé de désigner ce marché comme origine de la contamination alors qu'on y vendrait pas de chauve-souris et que les premiers cas n'y auraient aucun lien. Comme s'il s'agissait de détourner l'attention du public tourné vers l'institut de virologie de Wuhan et notamment le laboratoire P2 non sécurisé menant des recherches sur les virus de chauve-souris à quelques centaines de mètres du marché. En effet, les chauve-souris abondent dans la région, au point qu'il existe des remèdes traditionnels contre les maladies endémiques qu'elles transmettent.

II._ La séquencec mystérieuse de gènes

Des chercheurs occidentaux repèrent dans l'ADN du nouveau virus des séquences de coronavirus répertoriées, preuves irréfutables de manipulation selon eux, car la nature procéde par incrément non par séquence. La haute viralité de ce coronavirus s'explique par ses protéínes S répliquant les piques de glycoprotéïne ACE2., clé d'entrée dans la cellule humaine où elles s'accrochent.

III._  Les découvertes de Dr. Shi Zhengli

Depuis l'épidémie de SARS en 2003 la scientifique chinoise Shi Zhengli conduit des recherches sur les coronavirus, Depuis 2010 elle travaille sur leur capacité de franchir la barrière des espèces, spécifiquement sur les protéïnes S. Dans un article elle mentionne que les protéïnes S du SARS-CoV de certaines espèces de chauve-souris confèrent une susceptibilité variable aux protéïnes ACE2 humaines.

En 2013 elle publie un article dans la revue scientifique Nature annonçant que son équipe de Wuhan a isolé trois virus  de chauve-souris dont un bat-SL-Cov-W1V1  susceptible de transmission directe à l'espèce humaine. Elle souligne l'importance des programmes de découverte de pathogènes dans les populations de faune sauvage à risque pour prévenir des pandémies.

En 2015 elle publie un nouvel article dans la revue britannique Nature Medecine où elle discute de la création par son équipe d'un virus chimérique exprimant la pique du coronavirus de chauve-souris SHC014 sur une colonne vertébrale de SARS-CoV adapté aux souris se répliquant dans les voies respiratoires humaines pour atteindre in vitro un taux viral épidémique sur des cellules primaires.

IV._ Le secret du laboratoire P4 de Wuhan

En 2003 après l'épidémie de coronavirus SARS la Chine décide de se munir d'un laboratoire de virologie dernier cri sur le modèle P4 français. Sous l'égide du Premier Ministre Raffarin un contrat de construction conjointe avec la Chine d'un laboratoire P4 dans l'Institut de Virologie de Wuhan dans la province de Hubéï fut signé pour 44 millions d'euros.

L'ingénierie revient à la société Lyonnaise RTV mais au cours du contrat cette compétence se voit transférée à une société chinoise financée par l'Armée Populaire. L'établissement ne s'inaugure qu'en 2017 après les réticences françaises devant les soupçons de détournement vers un usage militaire.

A l'irruption de la pandémie les autorités imposèrent le silence à l'institut de virologie de Wuhan alors que l'établissement avait communiqué sans réserves lors de la fièvre porcine de 2018. Puis un chercheur de l'institut déclara en nom propre que le directeur avait laissé échapper le virus du laboratoire, puis l'institut patenta préemptivement le médicament Remdesivir contre le SARS reçu gratuitement des E.U.A. puis un autre chercheur de l'institut déclara que le virus fut fabriqué dans le laboratoire, puis un militaire fut placé à la tête du l'institut, puis le dirigeant Xi Jinping appela de ses voeux l'iintégration de la bio-sécurité dans le dispositif de protection nationale et une loi en ce sens.

Jiang Miangheng vice-président de l'académie des sciences de 1999 á 2011 et fils ainé de Jiang Zhemin ex-Secrétaire Général du PCC, dirigea la conception et le financement du laboratoire. Il prit la tête d'un groupe commercial exploitant les sciences de la vie formé d'hopitaux, centres de recherches, universités en administrant des fonds à la mesure. Son fils Jiang Zinchen actionnaire majoritaire du groupe Wuchi App Tech contrôle la société Fosun Pharmaceutical, agent chinois du médicament contre le coronavirus Remdesivir,

La guerre bactériologique figure au programme de l'Armée Populaire depuis 1999, de nombreux livres écrits par des généraux traitent le sujet sur un mode belliqueux, il s'agit de contrer les capacités de l'adversaire, soit Taïpeï, Washington, Tokyo et leurs alliés.