mardi 22 décembre 2020

La dernière blague des covidés

 Le feuilleton  languissant du COVID se relance par un rebondissement inattendu: la souche virale anglo-saxone invaliderait les vaccins concurrents, préservant ainsi les intérêts des laboratoires GSK et consorts malmenés par les compétiteurs étrangers notamment russes et chinois.

Boris Johnson saute sur l'occasion de récupérer les parts de marché médical en voie de perdition  en décrétant un confinement renforcé spécial Noel, fermant les frontières et prenant au piège des milliers de transporteurs sous les intempéries britanniques histoire de montrer sa détermination implacable.

Voilà un théâtre dont se gausse la jeunesse prenant d'assaut les pubs à la moindre tentative d'ouverture, nous rassurant au passage sur l'avance de la loi coranique au Royaume de sa Majesté.

Tout cela pour maintenir en vie artificielle des patients maltraités par le système médical qui éviscère quand il n'empoisonne pas chimiquement pour un oui ou pour un non, surtout pour faire du chiffre d'affaire.

Les tests ne sont pas fiables, les masques toxiques, les respirateurs lésionnent les poumons,  l'Azythromycine antibiotique couplé à l'Hydroxy-Chloroquine prétendument miracle occasionne des dégâts dans la flore bactérienne. 

On assiste à l'écroulement de la mythologie médicale non urgentiste, tissée à grands coups d'articles pseudo-scientifiques dans les revues vendues au plus offrant. Légende remise en cause de toutes parts en premier lieu par des médecins et biologistes au profit des médecines traditionnelles par les plantes comme l'atteste le documentaire belge Médecine Le Grand Tournant.

La souveraineté partagée n'en est plus une, remplacée par la gouvernance entrepreneuriale des lobbies menant la farandole.

Aucun commentaire :

Enregistrer un commentaire

Les commentaires sont soumis au filtrage anti-publicitaire de l'hébergeur