Concomitance de la vaccination au graphène et du déploiement 5g

Cela fait deux mois que des scientifiques espagnols dénoncent la présence d'oxyde de graphène dans les vaccins anti-COVID, les tests, les écouvillons, avertis par les symptômes analogues provoqués par cette toxine. Le 30 juin l'analyse d'un flacon scellé de vaccin Pfizer par le Docteur un chimie Campra de l'Université d'Alméria a révélé 740 nanogrammes d'oxyde de graphène et 6 nanogrammes d'ARNm en solution aqueuse, confirmant leurs appréhensions. 

Cette toxine s'observe au microscope optique avec ses plis caractéristiques et se confirme au microscope électronique. Le flacon contient 137 molécules d'oxyde de graphène et 1,5 molécule d'ARNm par cellule du corps humain. Le graphène absorbe l'énergie, il se détache de l'oxygène  en résonnant avec les fréquences des antennes 5g que l'on commence à peine à ouvrir. Ces scientifiques préviennent que le déploiement de la 5g multiplierait la toxicité du graphène par résonance, en ligne avec les observations cliniques. Les foyers d'infection au COVID apparaissent dans les zones de couvertures des antennes 5g mises en service.

 Le site scientifique qui a revelé l'affaire : LaQuintaColumna.net en espagnol