Sans libre arbitre l'homme serait irresponsable, tout civisme serait impossible. L'autorité établie ne peut le contraindre qu'en temps de guerre où la protection collective dépend de la protection individuelle, hormis cette circonstance les droits et devoirs résultent du contrat social en partie tacite et contesté donc en constante évolution.
L'Etat usurpe ses prérogatives en imposant subrepticement une méthode de soins sans fondements scientifiques comme le vaccin qui consiste à injecter une substance secrète pour raison commerciale donc autorisant tout les abus de surcroît en dégageant la responsabilité du laboratoire.
Or il n'y a de mort vaccinale que suite aux morts covidés suite au traitement le plus souvent hospitalier. D'une part les médecins ne savent plus traiter la moindre infection des voies respiratoires, s'en remettant commodément à une molécule de synthèse autrement dit un médicament quand ce n'est pas un vaccin ou une machine toujours plus complexe sous injonction hiérarchique. D'autre part la population se fragilise en contexte de pression démographique, vieillissement et dégradation de l'environnement. Le virus introuvable ne met en danger que les personnes fragilisées par des comorbidités certes de plus en plus courantes mais de faible proportion . Le vaccin par contre met en danger des personnes hors catégories à risque mais sensibles aux substances injectées que le public ne connait pas en raison commerciale. Sans compter qu'on ne pourra évaluer ces vaccins qu'au retour des temps grippaux dont l'été ne fait pas partie.
La crise sanitaire actuelle met en évidence l'impasse de la médecine conventionnelle et officielle basée sur le médicament et une machinerie complexe alors que ces artefacts se voient contestés par les tenants des médecines traditionnelles et naturelles à base de plantes. Sans qu'il s'agisse de jeter aux orties la médecine d'urgence, traumatique, de guerre à l'évidence. Le recours systématique au laboratoire pour guérir une maladie chronique ou une infection doit être remis en question à la lumière de l'impasse médicale puisqu'il ne donne plus de résultat au point de questionner la réalité des virus, maladies, contagions insinuant le doute sur la pertinence des traitements.
L'exemple le plus frappant d'obsolescence tient dans le recours généralisé, global, au respirateur artificiel, machine à l'origine destinée aux grands accidentés, pour traiter une gène respiratoire persistante alors qu'un simple jeune suffit dans l'écrasante majorité des cas. Il en est ainsi au niveau des molécules administrées quand de simples vitamines, métaux en carence comme le zinc suffisent de l'avis même de certains médecins expérimentés.
A leur décharge, les médecins ne s'avèrent pas les seuls responsables de l'impasse, étranglés dans l'étau des intérêts financiers de l'industrie médicale et des intérêts politiques garants du financement de ce personnel médical.
La solution simple, évidente énoncée maintes fois passe par la dérogation du monopole de la médecine allopathique à tout les niveaux: praticiens, enseignants et industrie, quitte à écorner les résultats de quelques sociétés cotées et rompre quelques idées reçues de la classe politique sur la médecine. Monopole commercial transformé ici en raison d'état.
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