La flotte de pêche chinoise poursuit ses ravages dans les eaux territoriales du monde entier, dissimulant sa présence et recourant aux méthodes industrielles les plus nocives à l'environnement telles que le chalut dérivant, la pêche au projecteur, ou la capture des espèces protégées.
La flotte, maintenue à l'état d'épave pour dissuader les saisies, ne laisse d'autre alternative aux autorités envahies que de couler ces navires pourtant truffés de technologie car intégrés dans une chaîne industrielle allant du ravitaillement au convoi frigorifique.
Aucun continent se voit épargné, les côtes de l'Afrique, dépourvues de protection maritime, s'avèrent le territoire de prédilection pour la pêche illégale quand des juridictions vulnérables comme en Mauritanie ne font qu'avaliser le pillage en dépit des protestations de l'industrie locale.
Contre les essaims de navires illégaux les autorités envahies passent désormais aux tirs sans sommation pour couler les navires en infraction par centaines, ainsi en Indonésie, Philippines, Australie, Argentine, Pérou, Equateur qui voient leurs ressources halieutiques et touristiques menacées d'extinction.
Là gît le véritable coût du transfert technologique des pays industrialisés vers la Chine, il se voit mis à profit dans l'exploitation éhontée des ressources naturelles des puissances mineures.
Nombre de particuliers prennent l'initiative de protester publiquement devant les déprédations de l'Etat communiste sans foi ni loi, dont le chef ne prit pas la peine de se déplacer à la COP26 de Glasgow, où ses principaux homologues étaient présents.
Les E.U.A. peinent à juguler l'essor du monstre qu'ils contribuent toujours à nourrir à travers un traitement douanier jusqu'ici préférentiel. Le confinement a seulement ralenti le mouvement mais il n'en a pas moins enrayé les rouages au point d'en gripper la machine.
Les catastrophes écologiques inhérentes à l'industrialisme s'amoncellent sur le peuple chinois, inondations, barrages qui cèdent, urbanisation des sols arables, pollution ,jusqu'à une pandémie servant de prétexte à son embrigadement supplémentaire.
La solution évidente, réclamée depuis belle lurette consiste au sevrage de la dépendance envers la Chine, visant en premier lieu le rétablissement unilatéral de la balance commerciale bien que la concurrence internationale joue en sa faveur. Ainsi les GAFA Apple et Amazon, de bons clients dont la survie en dépend, participent aux ravages exercés par Godzilla sur l'économie mondiale.
Il y a lieu d'arraisonner le navire sans pilote chinois.
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