L'agilité des petits partis comme UPR et Les Patriotes montre une fois de plus la voie à suivre, critique acerbe de la politique sanitaire de Macron convertissant l'Elysée en centre de profit au service de Big Pharma dont les principaux sièges sociaux se trouvent aux États Unis d'Amérique.
En commençant par élever á onze le nombre de vaccins obligatoires, inefficients et nocifs pour se rapprocher des anglo-saxons qui en sont à plus de 70, le gouvernement a planté ses jalons en signalant son soutien inconditionnel aux multinationales étrangères, de préférence cotées en bourse.
Asselineau le sénateur et Philippot le jeune loup ne retiennent aucun trait à l'encontre de la politique européenne symbolisée par la remise d'une médaille au PDG de Pfizer par la Présidente de la Commission Européenne Von Der Leyen, épouse d'un directeur médical de Big Pharma. Une société commerciale passant pour le Monsanto du secreur introduite dans le moindre rouage politique du monde sous la coupe occidentale, en plein age d'or de Big Pharma. Il s'agit de la lutte pour préserver ses parts de marché d'une part face à l'offensive chinoise depuis la base industrielle issue des délocalisations et d'autre part pour contrer la maîtrise indienne des médicaments génériques. D'où la fuite en avant vers des technologies présentées comme d'avant-garde sans convaincre personne sinon les secteurs sous dépendance financière. La pharmacopée reste une des mamelles de la truie médiatique états-unienne, prescripteur de vote électoral. En Europe où la publicité pharmaceutique demeure sévèrement réglementée, Big Pharma passe par son lobby assiégeant les divers parlements pour obtenir des lois favorables, comme tout secteur industriel afin de défendre ses intérêts.
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