La France vient de perdre l'un de ses principaux artistes académiques en la personne du pianiste et compositeur prodige Stéphane Blet décoré Chevalier des Arts et des Lettres en 2005 exclu en 2019 pour motif politique mais la nouvelle de son décès n'a pas fait l'objet du moindre entrefilet dans la presse.
Les avanies subies par l'artiste depuis la publication de son ouvrage relatant son parcours de membre d'une société secrète de Franc-Maçonnerie culturellement liée à l'hébraïsme illustrent son impréparation à la lutte politique puisqu'il était d'une santé fragile donc pas de taille à affronter des intérêts économiques dont dépendent maintes familles.
Ses déboires éclairent l'influence des réseaux franc-maçons dans les médias, à la croisée de la corruption politique du Parti Socialiste notoire en France méridionale. Stéphane Blet ne pouvait tout simplement plus exercer son métier de concertiste international, le privant de revenus significatifs.
Non que ces réseaux soient tout puissants mais une préparation sportive et morale reste indispensable pour les affronter sur le terrain politique et Stéphane Blet à l'évidence ne l'était pas suffisamment. Son récent ami le coriace Alain Soral, motard et professeur de savate sait prendre des coups et les rendre à la différence du délicat pianiste Stéphane Blet qui a payé de sa vie l'amateurisme de son engagement politique.
Son nouveau clan soralien lui permettait de maintenir le contact avec son public mais ce clan n'avait pas à le prévenir des dangers auxquels il s'exposait vu l'évidence de la répression. La faune internet présente sans conteste une utilité dans une démocratie comme la France, il s'agit de la légitimité selon Voltaire.
Il nous reste l'incomparable oeuvre discographique et les compositions de l'artiste pour bercer son souvenir dans notre mémoire.
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