dimanche 30 octobre 2011

Y a t-il une bassesse qu'un socialiste ne puisse commettre?

Plus c'est graveleux, plus c'est socialiste se dit-on après les dernières révélations sur les fréquentations de l'ex presídentiable socialiste Strauss-Kahn, apparament plus assidu aux réunions avec des proxénètes de Lille qu'avec des camarades du Parti.
Il faut savoir apprécier le gabarit des personnages gravitant autour du présidentiable en proie au démon de midi comme ce Fabrice Paszkowski, chef d'entreprise, militant socialiste mis en examen pour "proxénétisme aggravé en bande organisée et association de malfaiteurs" dans l'affaire du Carlton qui était l'un des piliers, dans le Pas-de-Calais, du club pro-DSK "A gauche, en Europe !". 
Strauss-Kahn aurait pu facilement faire son marché parmi la gent féminine médiatique comme tout émule de Sarkozy qui se respecte mais il fallait de plus qu'il s'en distingue en changeant de fournisseur, d'oú le lynchage dans la presse.
  On a toujours rien à lui reprocher légalement. En fait Strauss-Kahn est un bon vivant, mélant les plaisirs de la chair et de l'esprit à la manière d'un Berlusconi.  Vu l'hypocrisie de la classe politique s'arrogeant la part du lion du gateau démocratique, nul doute que les proxénètes soient plus fréquentables. Sans compter qu'entre une adipeuse vieillarde comme Martine Aubry et une danseuse de cabaret, le simple mortel a vite fait son choix. Enfin oui, on peut être pour les pauvres et contre la faim dans le monde tout en étant plein aux as.
Après une carrière bien remplie qui lui en voudrait de se lâcher un peu ?