dimanche 15 décembre 2013

Mandela, le GröNaz

Pour qui lit l'anglais voici une histoire toute neuve de l'apartheid en 36 chapitres par un afrikaaner qui écrit en Anglais. L'apartheid fut fondé par les vainqueurs de la guerre des Boers, qui au cours du conflit inventèrent les premiers camps de concentration, quoique les espagnols de Cuba en revendiquent aussi la paternité.

Les anglais se sont débrouillés pour faire porter le chapeau aux afrikaaners grâce à la complicité de Mandela, qui n'est pour rien dans la fin du régime. Les afrikaaners ont taché d'humaniser des lois inspirées de la ségrégation raciale en Amérique du Nord et en Australie, ainsi le plus grand hopital du monde sis à Soweto . Ils se sont adaptés à l'apartheid anglo-saxon, reconnaissant qu'une cohabitation avec les africains était impossible à ce stade de leur développement, ce qui ne les a pas empêché de participer à leur éducation, dont Mandela, le GröNaz (de GrôFaz , “Größter Feldherr aller Zeiten”, Hitler le plus grand général de tous les temp selon ses généraux ironiques)* .  Les Bantous et les Zoulous rencontrés en Afrique australe par les afrikaners remontant vers le nord, sont des fugitifs évoluant à l'age de pierre jusqu'à l'apartheid, alors que les éthiopiens, christianisés des siècles avant les européens, ont déjoué par deux fois les tentatives de colonisation par l'Italie réunifiée.
Les premiers mineurs d'Afrique du Sud étaient afrikaaners, des prolétaires, qu'on se le dise, les zoulous les ont tout simplement chassés.

Les anglais se sont établis en Afrique du sud bien après les français, d'où les Eugène Terreblanche, les hollandais bien après les portugais en afrique Australe. La vision de Bernard Lugan est fort intéressante, chez Mike Smith, c'est du vécu et ressenti au coeur des évènements avec les références historiques pertinentes..

Selon lui, Mandela s'assura du viol continu des richesses minérales sud-africaines par le "nouvel ordre mondial", l'élite Anglo Americaine. Une fois couronné, Mandela remit les clés du trésor aux anglo-américains, d'où sa déïfication globale, les afrikaaners pas assez riches payant l'addition de la politique de ségrégation inverse.

* mikesmithspoliticalcommentary

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