Le redresseur de tort Médiapart contestant comme un vulgaire poujadiste son contrôle fiscal pour fraude à la TVA en se gardant de dénoncer le taux préférentiel de 2,1 et les millions de subventions à ses confrères de la presse, ç'est à se tordre de rire. Nouveaux aristocrates, les gauchistes de plume croyaient mériter de payer moins d'impôts que leur prochain, enfin ils goutent sans mélange l'implacable loi de la concurrence, la loi du marché darwinien. Pour être un Zorro crédible, il faut s'habiller de noir de pied en cap.
Cela faisait des annnées que des concurrents comme Enquête et Débat dénonçaient cette concurrence déloyale.
mercredi 18 décembre 2013
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