230 euros l'enfant-esclave des plantations de cacao pour Nestlé en Afrique de l'Ouest, voilà qui aide à rester compétitif.
On entend bien que les subventions rendent la presse indépendante des autres sociétés commerciales, de là à tomber sous la coupe des gouvernements qui les distribuent, le compte n'y est pas non plus. On a toujours l'impression de ne pas être informé objectivement , notament en matière d'environnement, de conflits, dès lors que de puissants intérêts entrent en jeux, la notion d'information sensible reste essentielle, d'où la déstabilisation de la corporation journalistique.
TVA à 2.1% pour tous! Jouons de niveau avec nos compétiteurs américains et asiatiques.
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