L'engagement de Mediapart comme Le Monde ne laisse pas de surprendre, plus que jamais aux cotés des néo-nazis et oligarques corrompus d'Ukraine d'une part, des islamistes coupeurs de têtes contre le régime laïque et socialiste de la République Arabe Syrienne d'autre part. Le militant identitaire Viktor Lenka, exposé par Mediapart à la vindicte publique, a quand à lui rejoint le combat du bataillon anti-fasciste roumain parmi d'autres brigades internationales venues soutenir les républiques populaires de Donetsk et Lugansk par conviction anti-fasciste, formant un front national-communiste inédit à la grande stupéfaction des médias occidentaux du commerce.
Il est vrai que Médiapart - même s'il n'est plus déficitaire ce service de presse en ligne n'a pu démarrer que grâce à des spéculateurs boursiers - et LeMonde ne doivent leur survie qu'à leur allégeance aux intérêts de magnats boursiers comme Niels, Pigasse, Berger ou Charles Begbeder l'investisseur dans l'agriculture ukrainienne. Il n'y a donc pas lieu de s'étonner de cette dichotomie saisissant les principaux médias se disant de gauche, juste d'être désappointé.
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