Benoît Hamon l'incomparable dhimmi

Il y a invariablement peu de français de souche pour assister aux réunions électorales de Marcel Hamon , avant tout des africains et orientaux de teintes diverses et variées friands d'allocations que son parti distribue à la clientèle sur le compte sans fond du déficit public. C'est le candidat du créneau diversitaire, le député des Yvelinnes implanté dans l'enclave musulmane de Trappes , flanqué de son inséparable bras droit venu du Maroc qui ne le quitte pas d'une semelle pendant que l'autre compte les points, veillant à marcher dans le chemin de la charia , il a fait siens les voeux les plus chers des indésirables mahométans encombrant le territoire comme la légalisation du haschich afin de ne plus aller en prison pour trafic de drogue ou l'allocation inconditionnelle pour ne plus  travailler et vivre  au crochet de l'autochtone avec en prime la ségrégation mysogyne publique, cela quand on a pas les moyens de s'élever au rang de caïd du paté de maison. 

Une offre alléchante que l'électorat est censé ne pouvoir refuser , surtout après le bilan catastrophique et sanglant du quinquenat diversitaire .

Avec Marcel Hamon planez sans entrave et menez une activité oiseuse parasitaire conforme à la charia en terre de conquête ávant l'asservissement des castes inférieures , tel est le message à mot voilé transmis aux mahométants dotés par erreur du droit de vote dont ils n'ont que faire pour cause de double emploi.

Ainsi les administrés mahométans peuvent trafiquer , piller , voler , violer , mutiler et tuer tout ce n'est pas de leur obédience confessionnelle et  trouver à leur service un représentant autochtone pour exaucer leur voeux et faire de leur cause son étendard  , rivalisant de servitude avec une concurrence déjà très fournie pour le prix du plus grand dhimmi de France. 

Sous les feux de la rampe , le sang à peine séché des compatriotes asassinés au nom d'Allah, il s'est trouvé un autochtone , Marcel Hamon , pour clamer passionément sa soumission au barbare ,   symptôme du désert engendré par le système d'assistanat économique défendu par les députés .