La presse globale stygmatise le parti grec Aube Dorée et accessoirement les idées populistes , pour l'agression, certes lamentable, perpétrée sur une élue communiste par un de ses candidats.
Cependant faire d'un nouveau parti la victime expiatoire de la crise quand il s'oppose à ceux ayant présidé à la chute de leur pays, sort réservé aux partis nationalistes dans toute l'Europe, parait d'évidence hors-de-propos et ne fait que renforcer leur légitimité. La désinformation à haute dose finit par désensibiliser le patient.
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