Le système de sécurité sociale à l'européenne, qui plombe ce continent au point qu'en France les médecins forment désormais la corporation aux plus hauts revenus, va s'étendre outre-atlantique à l'encontre de la tradition individualiste qui en a fait la puissance hégémonique du moment.
Il aura donc suffit de quatre ans pour qu'un mulâtre kényan placé au pouvoir pour arbitrer les déchirements de la classe politique envoie le navire par le fond.
Un chomâge qui ne se résorbe pas, un déficit et une dette qui s'accroissent, une immigration dont on ne voit pas de fin, des conflits internationaux s'éternisant dans une mission de gendarme global qui le dépasse, bref un environnement moins que favorable pour l'imposition de nouveaux coûts de production au peuple américain sous la férule d'une couche supplémentaire de bureaucratie.
Cette assurance maladie ne créant aucune richesse ne pourra se financer que sur les retraites privées au travers du sytème 401k puisque les américains sont déjà endettés et qu'il n'y a pas de raison a priori qu'ils changent leur mode de vie. La bourse en supportera donc le coût, enfin tout le monde y perdra y compris les corporations de la santé qui crouleront sous la bureaucratie.
A l'image de l'Europe, le peuple américain dont 50 millions vivent déjà de subsides de l'état s'enfoncera un peu plus dans l'assistanat, accentuant le clivage entre secteur public et privé au détriment de ce dernier.
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